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Société Publié le mercredi 18 janvier 2012 | L’intelligent d’Abidjan

Des témoignages…

Alex T., victime de violence et agression

« J’étais connecté sur un site de rencontres et j’ai échangé avec une fille qui me proposait de lui donner vingt mille (20.000) francs CFA pour réaliser ensemble une partouze (acte sexuel exécuté à plusieurs). Elle m’a dit qu’on ferait l’amour à son domicile à la Riviera II. Aux environs de 18h, je me suis rendu à ce rendez-vous coquin. Elle est venue me chercher en compagnie de son amie en question. Nous sommes montés à son appartement. J’ai vu qu’elle vivait dans un luxe insolent. Elle m’a servi à boire de la bière qu’elle a sortie de son réfrigérateur. Nous avons bu abondamment. Puis, nous nous sommes mis à nous embrasser tous les trois. Les deux amies m’ont ôté mes vêtements, je me souviens que j’étais nu comme un ver de terre. Et au moment de passer à l’acte, un jeune très costaud est entré dans le studio. Il a commencé à me menacer. Il m’a dit qu’il était le propriétaire de la maison et que j’étais venu le cocufier dans son appartement. Il m’a arraché mes vêtements, mes chaussures et mes deux téléphones portables. Et il m’a demandé de sortir de chez lui. J’ai dû quitter l’appartement en toute vitesse parce qu’il envisageait de me battre à mort ».

Sonia M., internaute et victime de vol

« Je me nomme Sonia M. J’étais connectée sur Internet, précisément sur un site de rencontres très fréquenté. Une fille quand elle se connecte sur ce site, peut avoir des milliers d’intervenants (masculins). J’avais inscrit sur mon profil, ce qui suit : « coucou, viens me sauter si tu as mon argent : 15.000FCFA pour une heure ». J’avoue que j’ai reçu plusieurs propositions. De toutes ces propositions, il y en a une qui me faisait des sensations. On me demandait de passer la nuit à 50.000FCFA. J’ai aussitôt accepté. Nous avons pris rendez-vous au grand carrefour de Koumassi. Après avoir discuté chacun de ses fantasmes et dégusté des chawarmas dans un glacier, nous avons décidé de rentrer. Parce que la rencontre devait être coquine dans un hôtel à Marcory aux environs de 22h. Aussitôt arrivés, on s’est mis à nous enlacer amoureusement. On a commencé à passer véritablement aux choses sérieuses. Il avait porté un pantalon jeans et un tee-shirt rose. Sans le savoir, il était vêtu à ma couleur préférée. J’avais porté une longue robe assez moulante et très sexy. Parce que les hommes aiment bien voir se dessiner dans la lingerie féminine les rondeurs, des poignets d’amour (les rebords des hanches) et ma poitrine. Une fois, dans la chambre d’hôtel, il a commencé à me tripoter et à me peloter les seins. C’était tellement bon que je me laissais faire. Soudainement, il a sorti un pistolet et il m’a intimé l’ordre de me déshabiller. Il m’a tout arraché, notamment mon sac à main, mes chaussures, mes vêtements et mes téléphones portables. Je me suis mise à pleurer, sous la menace de son arme. Quand il a fini de tout rassembler dans mon sac à main, il est parti. Tellement j’avais peur, je n’ai pas pu alerter les gens dans l’hôtel. Grâce à une dame qui travaille dans cet hôtel, j’ai pu regagner mon domicile parce qu’elle m’a remis un morceau de pagne ».

Recueillis par P.K
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