Le président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), Mam Camara, lors du séminaire de formation des correspondants de presse, tenu, mardi, à Yamoussoukro, a indiqué que l’organisation ira désormais de plus en plus à l’intérieur du pays pour former « ceux-là même qui sont très souvent oubliés par les séminaires de formation et de renforcement des capacités ».
Ce séminaire co-organisé par l’Ambassade des Etats unis et l’Unjci à « American corner » à l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (Inp-HB) de Yamoussoukro et qui avait pour thème « Le rôle des médias dans la lutte contre la corruption et la promotion de la bonne gouvernance » a permis au président de l’Unjci de rassurer les correspondants de presse.
« Former les correspondants de presse, ceux-là même qui assurent le relais de l’information à travers le pays et qui sont très souvent oubliés par les séminaires de formation et les renforcements de capacités ; voilà le sens de cette rencontre », a-t-il expliqué, insistant « Cette fois-ci, nous venons vers eux et ce ne sera pas la dernière fois.»
Puis Mam Camara de relever qu’à la différence des autres séminaires, celui-là a la particularité de cumuler les notions de base, les techniques rédactionnelles, le code de déontologie à une connaissance thématique.
Selon M. Camara, l’on ne finira jamais d’indexer la presse quand la société est déréglée, l’on ne finira donc pas de transformer les médias en officine de propagande mais qu’il appartient à chacun d’exercer librement son travail en toute responsabilité et de façon professionnelle.
« Nous sommes au service du peuple et avons un devoir envers lui. Le peuple a un droit à l’information. Il a besoin d’être bien informé », a-t-il rappelé, soulignant qu’il est temps d’asseoir un nouvel environnement éditorial et une nouvelle éthique de vie dans les rédactions.
« Revenons aux fondamentaux de la profession. Que chacun fasse son travail. Laissons la politique aux politiciens ! », a martelé le président Mam camara.
Le préfet de la région du Bélier, préfet de Yamoussoukro, André Ekponon qui présidait l’ouverture dudit séminaire s’est réjoui du fait que les formateurs viennent désormais vers les bénéficiaires notamment les correspondants de presse.
« L’information est capitale et il faut que celui ou celle qui la donne soit bien formé. C’est en cela que je loue votre initiative de venir vers les nombreux correspondants trop souvent oubliés en matière de formation. Nous croyons qu’avec votre métier, la Côte d’Ivoire qui renaît de ses cendres comme le sphinx puisse se développer grâce à votre travail de sensibilisation, d’information et de formation des populations », a-t-il dit, souhaitant beaucoup de paix au bout des plumes, partant pour la Côte d’Ivoire.
La formation a été assurée par le journaliste-juriste, président fondateur de l’Unjci, Yao Noël et le magistrat, président de l’Ong « Transparency justice », Me Manlan Ehounou Kan Laurent, respectivement sur « Technique de reportage et code de déontologie en Côte d’Ivoire », et sur le thème central, « Le rôle des médias dans la lutte contre la corruption et la promotion de la bonne gouvernance », rappelle-t-on.
(AIP)
Zgrp
Ce séminaire co-organisé par l’Ambassade des Etats unis et l’Unjci à « American corner » à l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (Inp-HB) de Yamoussoukro et qui avait pour thème « Le rôle des médias dans la lutte contre la corruption et la promotion de la bonne gouvernance » a permis au président de l’Unjci de rassurer les correspondants de presse.
« Former les correspondants de presse, ceux-là même qui assurent le relais de l’information à travers le pays et qui sont très souvent oubliés par les séminaires de formation et les renforcements de capacités ; voilà le sens de cette rencontre », a-t-il expliqué, insistant « Cette fois-ci, nous venons vers eux et ce ne sera pas la dernière fois.»
Puis Mam Camara de relever qu’à la différence des autres séminaires, celui-là a la particularité de cumuler les notions de base, les techniques rédactionnelles, le code de déontologie à une connaissance thématique.
Selon M. Camara, l’on ne finira jamais d’indexer la presse quand la société est déréglée, l’on ne finira donc pas de transformer les médias en officine de propagande mais qu’il appartient à chacun d’exercer librement son travail en toute responsabilité et de façon professionnelle.
« Nous sommes au service du peuple et avons un devoir envers lui. Le peuple a un droit à l’information. Il a besoin d’être bien informé », a-t-il rappelé, soulignant qu’il est temps d’asseoir un nouvel environnement éditorial et une nouvelle éthique de vie dans les rédactions.
« Revenons aux fondamentaux de la profession. Que chacun fasse son travail. Laissons la politique aux politiciens ! », a martelé le président Mam camara.
Le préfet de la région du Bélier, préfet de Yamoussoukro, André Ekponon qui présidait l’ouverture dudit séminaire s’est réjoui du fait que les formateurs viennent désormais vers les bénéficiaires notamment les correspondants de presse.
« L’information est capitale et il faut que celui ou celle qui la donne soit bien formé. C’est en cela que je loue votre initiative de venir vers les nombreux correspondants trop souvent oubliés en matière de formation. Nous croyons qu’avec votre métier, la Côte d’Ivoire qui renaît de ses cendres comme le sphinx puisse se développer grâce à votre travail de sensibilisation, d’information et de formation des populations », a-t-il dit, souhaitant beaucoup de paix au bout des plumes, partant pour la Côte d’Ivoire.
La formation a été assurée par le journaliste-juriste, président fondateur de l’Unjci, Yao Noël et le magistrat, président de l’Ong « Transparency justice », Me Manlan Ehounou Kan Laurent, respectivement sur « Technique de reportage et code de déontologie en Côte d’Ivoire », et sur le thème central, « Le rôle des médias dans la lutte contre la corruption et la promotion de la bonne gouvernance », rappelle-t-on.
(AIP)
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