Un braquage dans une famille s’est opéré dans un bain de sang, dimanche à N’Douci, a appris l’AIP de source proche des voisins des victimes.
Un garde de sous-préfecture, Aloka Gnaoré Ozé, et son fils, Aloka Abraham, élève en classe de Terminale au collège BAD de N’Douci ont été abattus et la femme grièvement poignardée par quatre individus qui ont investi, aux environs de 21H, le domicile pour dépouiller les occupants de leurs biens.
A la suite d’une farouche résistance du maître des lieux aidé de sa progéniture, les malfrats encagoulés ont fait usage d’un fusil calibre 12 à canon scié, tuant sur le coup l’élève Aloka Abraham, précisent les témoins.
Les bandits qui en voulaient terriblement cette famille vont, à l’aide machettes et d’arme à feu, achever le garde de sous-préfecture non sans planter un coup de couteau à l’abdomen de l’épouse, institutrice à Tiassalé, qui est tombée sur l’horrible scène alors qu’elle sortait de douche.
La croyant morte comme les deux autres, ils quittent les lieux en la laissant dans une marre de sang.
Informés, les éléments de la brigade de gendarmerie de Tiassalé sont venus faire le constat d’usage avant l’évacuation sur Abidjan, par les soins d’un particulier, la blessée, surtout que l’hôpital de N’Douci ne dispose pas d’ambulance.
La même nuit, les malades, leurs parents et le personnel de l’hôpital de N’Douci ont été eux-aussi dépouillés par des individus non identifiés, certainement les mêmes malfrats, souligne-t-on.
Le sous-préfet de N’Douci, Koné Kinan Christelle, se dit préoccupée par cette situation d’insécurité galopante et appelle à l’ouverture dans les brefs délais d’un commissariat de police dans cette ville-carrefour.
(AIP)
Kkp/kp
Un garde de sous-préfecture, Aloka Gnaoré Ozé, et son fils, Aloka Abraham, élève en classe de Terminale au collège BAD de N’Douci ont été abattus et la femme grièvement poignardée par quatre individus qui ont investi, aux environs de 21H, le domicile pour dépouiller les occupants de leurs biens.
A la suite d’une farouche résistance du maître des lieux aidé de sa progéniture, les malfrats encagoulés ont fait usage d’un fusil calibre 12 à canon scié, tuant sur le coup l’élève Aloka Abraham, précisent les témoins.
Les bandits qui en voulaient terriblement cette famille vont, à l’aide machettes et d’arme à feu, achever le garde de sous-préfecture non sans planter un coup de couteau à l’abdomen de l’épouse, institutrice à Tiassalé, qui est tombée sur l’horrible scène alors qu’elle sortait de douche.
La croyant morte comme les deux autres, ils quittent les lieux en la laissant dans une marre de sang.
Informés, les éléments de la brigade de gendarmerie de Tiassalé sont venus faire le constat d’usage avant l’évacuation sur Abidjan, par les soins d’un particulier, la blessée, surtout que l’hôpital de N’Douci ne dispose pas d’ambulance.
La même nuit, les malades, leurs parents et le personnel de l’hôpital de N’Douci ont été eux-aussi dépouillés par des individus non identifiés, certainement les mêmes malfrats, souligne-t-on.
Le sous-préfet de N’Douci, Koné Kinan Christelle, se dit préoccupée par cette situation d’insécurité galopante et appelle à l’ouverture dans les brefs délais d’un commissariat de police dans cette ville-carrefour.
(AIP)
Kkp/kp