Abidjan - Le Comité de suivi des recommandations d’Accra(CSRA) a organisé un forum jeudi à la Maison de la presse d’Abidjan, au Plateau, avec des acteurs du secteur des médias afin de réfléchir sur les mesures possibles de réforme du code de déontologie du journalisme ivoirien.
Selon les deux consultants en charge de l’élaboration du nouveau code, les journalistes Zio Moussa et Alfred Dan Moussa, pour une bonne réforme du code de déontologie ivoirien, il faudrait d’abord faire un travail de recherches qui consistera à prendre le code de déontologie ivoirien, le confronter à ceux des autres pays de la sous-région et voir s’il est conforme au code international.
En effet, créé à Yamoussoukro le 29 août 1992, le code de déontologie ivoirien qui donne le droit à l’information, à la libre expression et à la critique, au journaliste, est composé de 14 devoirs et de sept droits. Ce code doit être contrôlé par un conseil de presse qui pourra améliorer le secteur des médias, par des mécanismes d’application et de renforcement, au niveau interne et externe, estiment les consultants.
Le CSRA a été mis en place par la Fondation pour les médias en Afrique de l’ouest (MFWA, en anglais), basée à Accra (Ghana), avec l’appui de partenaires dont l’ONG danoise International Media support (IMS), en janvier 2011 à Accra. Il est un collectif de professionnels des médias qui a pour but d’aider les médias ivoiriens à jouer leur partition au règlement de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire.
Le CSRA, présidé par Eugène Dié Kacou, est composé des représentants du Conseil national de la presse (CNP), du Réseau des instances Africaines d’autorégulation des médias (RIAAM), de l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (OLPED), du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), de l’Union des radios de proximité de Côte d’Ivoire (URPCI), de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI), de représentants des quotidiens ‘Notre Voie’, ‘Le Patriote’ et du groupe Olympe, ainsi que de quelques consultants médias.
Les consultants vont exposer sur leur travail le 15 février, en vue de l’adoption du texte, en plénière.
Selon les deux consultants en charge de l’élaboration du nouveau code, les journalistes Zio Moussa et Alfred Dan Moussa, pour une bonne réforme du code de déontologie ivoirien, il faudrait d’abord faire un travail de recherches qui consistera à prendre le code de déontologie ivoirien, le confronter à ceux des autres pays de la sous-région et voir s’il est conforme au code international.
En effet, créé à Yamoussoukro le 29 août 1992, le code de déontologie ivoirien qui donne le droit à l’information, à la libre expression et à la critique, au journaliste, est composé de 14 devoirs et de sept droits. Ce code doit être contrôlé par un conseil de presse qui pourra améliorer le secteur des médias, par des mécanismes d’application et de renforcement, au niveau interne et externe, estiment les consultants.
Le CSRA a été mis en place par la Fondation pour les médias en Afrique de l’ouest (MFWA, en anglais), basée à Accra (Ghana), avec l’appui de partenaires dont l’ONG danoise International Media support (IMS), en janvier 2011 à Accra. Il est un collectif de professionnels des médias qui a pour but d’aider les médias ivoiriens à jouer leur partition au règlement de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire.
Le CSRA, présidé par Eugène Dié Kacou, est composé des représentants du Conseil national de la presse (CNP), du Réseau des instances Africaines d’autorégulation des médias (RIAAM), de l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (OLPED), du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), de l’Union des radios de proximité de Côte d’Ivoire (URPCI), de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI), de représentants des quotidiens ‘Notre Voie’, ‘Le Patriote’ et du groupe Olympe, ainsi que de quelques consultants médias.
Les consultants vont exposer sur leur travail le 15 février, en vue de l’adoption du texte, en plénière.