Abidjan - L’artiste musicien burkinabé Georges Ouédraogo a tiré sa révérence, dans la nuit de mercredi à jeudi, des suites d’une crise cardiaque à Ouagadougou.
Selon les informations données par le quotidien Sidwaya, le doyen des artistes musiciens du Burkina Faso, est mort à l’âge de 66 ans.
Surnommé le "Gandaogo national", Georges Ouédraogo, s’est révélé, dans les années 70, avec la création du groupe Bozambo où avait évolué feu Jimmy Hyacinthe, guitariste émérite ivoirien.
Sous les conseils du trompettiste Fax Clark, Georges Ouédraogo a débuté la musique au "Quartier Latin" d’Abidjan avant de rejoindre, en 1971, le "New System Pop" après un passage en tant que batteur avec les "Freemen" d’Abidjan, souligne-t-on.
En 1978, il rentre définitivement au Burkina où le doyen a donné une certaine impulsion à sa carrière, en restant présent sur la scène discographique avec de l’album "OUA", sorti en 1997, "Gnou Zemes" (2000) et "Rosalie" (2003).
L’artiste fredonne dans ses chansons des mélodies musicales d’envolées lyriques ou d’exhortations de toutes sortes, en mooré, en dioula ou en français.
A en croire le confrère burkinabé, le genre musical de Georges Ouédraogo oscille entre le slow et une sorte de world music très dansante, basée sur le Warba, la danse traditionnelle populaire des Mossi, son ethnie.
(AIP)
kp
Selon les informations données par le quotidien Sidwaya, le doyen des artistes musiciens du Burkina Faso, est mort à l’âge de 66 ans.
Surnommé le "Gandaogo national", Georges Ouédraogo, s’est révélé, dans les années 70, avec la création du groupe Bozambo où avait évolué feu Jimmy Hyacinthe, guitariste émérite ivoirien.
Sous les conseils du trompettiste Fax Clark, Georges Ouédraogo a débuté la musique au "Quartier Latin" d’Abidjan avant de rejoindre, en 1971, le "New System Pop" après un passage en tant que batteur avec les "Freemen" d’Abidjan, souligne-t-on.
En 1978, il rentre définitivement au Burkina où le doyen a donné une certaine impulsion à sa carrière, en restant présent sur la scène discographique avec de l’album "OUA", sorti en 1997, "Gnou Zemes" (2000) et "Rosalie" (2003).
L’artiste fredonne dans ses chansons des mélodies musicales d’envolées lyriques ou d’exhortations de toutes sortes, en mooré, en dioula ou en français.
A en croire le confrère burkinabé, le genre musical de Georges Ouédraogo oscille entre le slow et une sorte de world music très dansante, basée sur le Warba, la danse traditionnelle populaire des Mossi, son ethnie.
(AIP)
kp