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Société Publié le vendredi 3 février 2012 | Nord-Sud

Atelier sur la gratuité ciblée des soins : Eviter les erreurs du passé

Déterminer les éléments constitutifs des paquets de soins à offrir aux femmes enceintes et aux enfants de moins de cinq ans, définir les outils spécifiques et les modalités de financement de la gratuité ciblée. Tels sont entre autres les objectifs de l’atelier de réflexion sur la mise en œuvre de la gratuité ciblée qui a débuté, hier, au Centre hospitalier universitaire (Chu) de Cocody. Car, selon le Pr Mamadou Samba, direc­teur de la prospective, de la planification et des stratégies au ministère de la Santé et de la lutte contre le Sida, si la gratuité générale a souffert de nombreuses insuffisances, c’est parce qu’elle n’a pas été préparée.

Car, elle a été instituée à la fin de la crise postélectorale pour permettre aux populations appauvries de se soigner dans les centres de santé publique. Le directeur du Chu de Cocody, Pr Jean-Claude Kouassi, a insisté sur les mesures qui accompagnent cette nouvelle mesure. Car, selon lui, si la première a connu beaucoup de difficultés, c’est parce que l’argent a fait défaut. A ce niveau, la ministre de la Santé et de la lutte contre le Sida s’est voulue rassurante : « l’Etat a déjà mis 30 milliards à notre disposition pour cette année. Que nous utiliserons rationnellement». Pour Thérèse N’Dri-Yoman, la mise en œuvre et la réussite de la gratuité ciblée sont un challenge pour tous les praticiens et partenaires du système de santé. Des bilans exhaustifs à intervalles réguliers sont prévus afin d’apporter des corrections.

Déterminer les éléments constitutifs des paquets de soins à offrir aux femmes enceintes et aux enfants de moins de cinq ans, définir les outils spécifiques et les modalités de financement de la gratuité ciblée. Tels sont entre autres les objectifs de l’atelier de réflexion sur la mise en œuvre de la gratuité ciblée qui a débuté, hier, au Centre hospitalier universitaire (Chu) de Cocody. Car, selon le Pr Mamadou Samba, direc­teur de la prospective, de la planification et des stratégies au ministère de la Santé et de la lutte contre le Sida, si la gratuité générale a souffert de nombreuses insuffisances, c’est parce qu’elle n’a pas été préparée. Car, elle a été instituée à la fin de la crise postélectorale pour permettre aux populations appauvries de se soigner dans les centres de santé publique. Le directeur du Chu de Cocody, Pr Jean-Claude Kouassi, a insisté sur les mesures qui accompagnent cette nouvelle mesure. Car, selon lui, si la première a connu beaucoup de difficultés, c’est parce que l’argent a fait défaut. A ce niveau, la ministre de la Santé et de la lutte contre le Sida s’est voulue rassurante : « l’Etat a déjà mis 30 milliards à notre disposition pour cette année. Que nous utiliserons rationnellement». Pour Thérèse N’Dri-Yoman, la mise en œuvre et la réussite de la gratuité ciblée sont un challenge pour tous les praticiens et partenaires du système de santé. Des bilans exhaustifs à intervalles réguliers sont prévus afin d’apporter des corrections.

Adelaïde Konin
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