La caravane de la réconciliation de la Commission Dialogue, vérité et réconciliation a débuté avec une prise de contact avec les populations d’Agboville, Yakassémé, Akoupé et Adzopé les 17 et 18 février 2012. Les régions de l’Agneby et de la Mé ont ainsi pu accueillir chaleureusement le président Charles Konan Banny et sa délégation.
Les différentes allocutions ont été franches et directes. Les vérités ont été dites d’une façon sincère et intelligente. Comme si, de part et d’autre, les populations attendaient ce moment. Le constat ici est clair que le tissu social à Agboville, Yakassémé, Akoupé et Adzopé s’est beaucoup dégradé lors des évènements de la crise postélectorale. La visite a permis de savoir que toutes les populations ont soif de paix et de réconciliation pour vivre ensemble. C’est pourquoi, le président de la cdvr a exhorté la population à s’inscrire résolument dans le processus de la réconciliation, gage d’une nation forte. Selon lui, sans entente et réconciliation, il n’y a ni paix ni développement, ni bonheur. Par ailleurs, il a insisté sur le fait que la réconciliation n’est ni injustice ni impunité. Elle est reconnaissance des fautes commises, pardon et réparation.
A la jeunesse, le président de la CDVR a signifié clairement que la réconciliation est leur affaire, et qu’ils ont intérêt à s’inscrire résolument dans le processus de la réconciliation pour un avenir meilleur pour la Côte d’Ivoire et pour eux-mêmes.
Il faut saluer le fait que toutes les couches sociales ont pu s`exprimer en toute liberté. Hommes, femmes et jeunes ont dialogué et se sont dit les vérités. Les différents chefs coutumiers ont, en guise de pardon et d’engagement sur la voie de la réconciliation offert un bélier blanc au président de la CDVR. Enfin, les pays Attié et Abey se sont engagés devant Dieu et les hommes à se réconcilier avec leurs frères Dioula et les étrangers vivant sur leur sol.
FN
Les différentes allocutions ont été franches et directes. Les vérités ont été dites d’une façon sincère et intelligente. Comme si, de part et d’autre, les populations attendaient ce moment. Le constat ici est clair que le tissu social à Agboville, Yakassémé, Akoupé et Adzopé s’est beaucoup dégradé lors des évènements de la crise postélectorale. La visite a permis de savoir que toutes les populations ont soif de paix et de réconciliation pour vivre ensemble. C’est pourquoi, le président de la cdvr a exhorté la population à s’inscrire résolument dans le processus de la réconciliation, gage d’une nation forte. Selon lui, sans entente et réconciliation, il n’y a ni paix ni développement, ni bonheur. Par ailleurs, il a insisté sur le fait que la réconciliation n’est ni injustice ni impunité. Elle est reconnaissance des fautes commises, pardon et réparation.
A la jeunesse, le président de la CDVR a signifié clairement que la réconciliation est leur affaire, et qu’ils ont intérêt à s’inscrire résolument dans le processus de la réconciliation pour un avenir meilleur pour la Côte d’Ivoire et pour eux-mêmes.
Il faut saluer le fait que toutes les couches sociales ont pu s`exprimer en toute liberté. Hommes, femmes et jeunes ont dialogué et se sont dit les vérités. Les différents chefs coutumiers ont, en guise de pardon et d’engagement sur la voie de la réconciliation offert un bélier blanc au président de la CDVR. Enfin, les pays Attié et Abey se sont engagés devant Dieu et les hommes à se réconcilier avec leurs frères Dioula et les étrangers vivant sur leur sol.
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