Sous la présidence du ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, Adama Toungara, l’EEEOA (Système d’Echanges d’Energie Electrique Ouest Africain), a organisé le lundi 5 mars 2012, à l’hôtel Novotel-Plateau, la réunion des ministres en charge du projet d’interconnexion du réseau électrique.
La Côte d’Ivoire, la Sierra Léone, le Libéria et la Guinée sont pour l’instant, les pays concernés par le projet d’interconnexion du réseau électrique qui vise, entre autres, à pallier les problèmes d’interruption de la distribution du courant électrique et à partager en commun des problèmes liés à l’électricité. A l’ouverture de la séance de travail, Amadou Diallo, secrétaire général de l’EEEOA, a rappelé l’importance de l’interconnexion des réseaux. Pour lui, des pas importants ont été franchis dont l’aboutissement de plusieurs rencontres, quand bien même des pays ont accusé du retard dans la mise en œuvre dudit traité, au plan de l’énergie. Si cet état de fait est à rattraper, il s’agira, selon lui, de prendre toutes les mesures et les risques qui sont associés à la ratification du traité du projet d’interconnexion en vue de sa réussite. D’un coût social à son goût, Amadou Diallo a insisté auprès des Etats membres, à mobiliser des ressources pour la mise en œuvre du projet. Ce, d’autant plus qu’il y va du développement du secteur de l’énergie. Quant au ministre Adama Toungara, il a relevé le caractère opportun que revêt cette initiative pour les quatre pays. Celui-ci a fait entendre qu’à travers le projet d’interconnexion, il est question de créer un marché régional et d’harmoniser le réseau de l’électricité. C’est pourquoi, au nom de ses pairs, et de l’immense potentiel énergétique des Etats du Fleuve Mano et de la CEDEAO, Adama Toungara a demandé de saisir les chances que leur offrait le WAPP. «Le WAPP est un outil indispensable pour l’intégration de nos réseaux électriques», a-t-il souligné. Prévu pour être mis en service au bout de 3ans, soit en 2015, le coût total de ce projet est d’environ 430 millions de dollars comprenant la construction d’une ligne de 1700 Km traversant les quatre Etats CLSG (Côte d’Ivoire, Libéria, Sierra Léone, Guinée).
HK
La Côte d’Ivoire, la Sierra Léone, le Libéria et la Guinée sont pour l’instant, les pays concernés par le projet d’interconnexion du réseau électrique qui vise, entre autres, à pallier les problèmes d’interruption de la distribution du courant électrique et à partager en commun des problèmes liés à l’électricité. A l’ouverture de la séance de travail, Amadou Diallo, secrétaire général de l’EEEOA, a rappelé l’importance de l’interconnexion des réseaux. Pour lui, des pas importants ont été franchis dont l’aboutissement de plusieurs rencontres, quand bien même des pays ont accusé du retard dans la mise en œuvre dudit traité, au plan de l’énergie. Si cet état de fait est à rattraper, il s’agira, selon lui, de prendre toutes les mesures et les risques qui sont associés à la ratification du traité du projet d’interconnexion en vue de sa réussite. D’un coût social à son goût, Amadou Diallo a insisté auprès des Etats membres, à mobiliser des ressources pour la mise en œuvre du projet. Ce, d’autant plus qu’il y va du développement du secteur de l’énergie. Quant au ministre Adama Toungara, il a relevé le caractère opportun que revêt cette initiative pour les quatre pays. Celui-ci a fait entendre qu’à travers le projet d’interconnexion, il est question de créer un marché régional et d’harmoniser le réseau de l’électricité. C’est pourquoi, au nom de ses pairs, et de l’immense potentiel énergétique des Etats du Fleuve Mano et de la CEDEAO, Adama Toungara a demandé de saisir les chances que leur offrait le WAPP. «Le WAPP est un outil indispensable pour l’intégration de nos réseaux électriques», a-t-il souligné. Prévu pour être mis en service au bout de 3ans, soit en 2015, le coût total de ce projet est d’environ 430 millions de dollars comprenant la construction d’une ligne de 1700 Km traversant les quatre Etats CLSG (Côte d’Ivoire, Libéria, Sierra Léone, Guinée).
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