La CEDEAO en collaboration avec les institutions africaines partenaires, a décidé d’opérationnaliser le système ECO-Agris et de mettre en place la composante sécurité alimentaire du système d’information. C’est dans ce cadre qu’elle a procédé, le mercredi 7 mars 2012, à la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères, au lancement du système d’information sur le secteur agricole de l’espace communautaire.
Ce sont au total 53 ordinateurs, 11 logiciels, 12 imprimantes, 9 scanners d’une valeur de 98 000 dollars, soit 50 millions de FCFA que le systême Eco-Agris a offerts au ministère de l’Agriculture. Des équipements que ledit ministère mettra à la disposition des structures qui interviennent dans l’EcoAgris. Selon Soumaïla Kouassi Brédoumy, Directeur de l’évaluation et des projets, représentant par ailleurs le ministre de l’Agriculture, le programme de facilité alimentaire UE-FIDA-CEDEAO s’inscrit dans le registre des composantes de la CEDEAO. Ce programme vise à aider la région Ouest africaine à se doter de moyens pour soutenir et gérer les interventions régionales dans le cadre de la politique agricole commune. «L’acquisition en équipement de technologie de l’information permettra de renforcer les performances de l’agriculture nationale et régionale», a-t-il noté. «Nous remettrons ces matériels à nos ministères pour en faire bon usage», a-t-il promis. Traduisant le message du ministre de l’Agriculture, Soumaïla K Brédoumy a fait savoir qu’EcoAgris est un instrument de suivi de l’agriculture en Afrique de l’Ouest qui devrait permettre de disposer d’informations actualisées pour l’élaboration des travaux. Selon lui, la finalité de cet instrument est de permettre aux décideurs de la région de disposer et d’utiliser des données et analyses fiables et actualisées en vue de mieux gérer les questions de sécurité alimentaire dans la région. L’Afrique de l’Ouest dispose suffisamment de ressources humaines et naturelles pour assurer sa sécurité alimentaire et atteindre sa souveraineté alimentaire. La biodiversité de l’espace CEDEAO lui offre un potentiel varié (production animale, ressources halieutiques) avec des régions en surproductions alimentaires alors que d’autres connaissent des déficits permanents. Pour lever ce paradoxe, Haya Dadé, coordonnateur de la composante CEDEAO du programme régional de la facilité alimentaire a présenté l’importance de disposer d’informations actualisées et fiables sur le secteur agricole africain. A l’en croire, ce dispositif permettra de pallier le manque d’informations sur le secteur agricole et de faciliter les échanges des produits agricoles.
Armand K
Ce sont au total 53 ordinateurs, 11 logiciels, 12 imprimantes, 9 scanners d’une valeur de 98 000 dollars, soit 50 millions de FCFA que le systême Eco-Agris a offerts au ministère de l’Agriculture. Des équipements que ledit ministère mettra à la disposition des structures qui interviennent dans l’EcoAgris. Selon Soumaïla Kouassi Brédoumy, Directeur de l’évaluation et des projets, représentant par ailleurs le ministre de l’Agriculture, le programme de facilité alimentaire UE-FIDA-CEDEAO s’inscrit dans le registre des composantes de la CEDEAO. Ce programme vise à aider la région Ouest africaine à se doter de moyens pour soutenir et gérer les interventions régionales dans le cadre de la politique agricole commune. «L’acquisition en équipement de technologie de l’information permettra de renforcer les performances de l’agriculture nationale et régionale», a-t-il noté. «Nous remettrons ces matériels à nos ministères pour en faire bon usage», a-t-il promis. Traduisant le message du ministre de l’Agriculture, Soumaïla K Brédoumy a fait savoir qu’EcoAgris est un instrument de suivi de l’agriculture en Afrique de l’Ouest qui devrait permettre de disposer d’informations actualisées pour l’élaboration des travaux. Selon lui, la finalité de cet instrument est de permettre aux décideurs de la région de disposer et d’utiliser des données et analyses fiables et actualisées en vue de mieux gérer les questions de sécurité alimentaire dans la région. L’Afrique de l’Ouest dispose suffisamment de ressources humaines et naturelles pour assurer sa sécurité alimentaire et atteindre sa souveraineté alimentaire. La biodiversité de l’espace CEDEAO lui offre un potentiel varié (production animale, ressources halieutiques) avec des régions en surproductions alimentaires alors que d’autres connaissent des déficits permanents. Pour lever ce paradoxe, Haya Dadé, coordonnateur de la composante CEDEAO du programme régional de la facilité alimentaire a présenté l’importance de disposer d’informations actualisées et fiables sur le secteur agricole africain. A l’en croire, ce dispositif permettra de pallier le manque d’informations sur le secteur agricole et de faciliter les échanges des produits agricoles.
Armand K