Abidjan - Le porte-parole de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) a réitéré, jeudi, à Abidjan, l’inquiétude de la mission devant l’absence de décisions claires concernant les circonscriptions de Bonon et de Facobly alors que le parlement vient d’être convoqué.
Lors du point de presse hebdomadaire de l’ONUCI, le porte-parole, Hamadoun Touré, tout en rappelant "l’impuissance" de la Commission électorale indépendante (CEI) à proclamer les résultats dans ces circonscriptions, relève l’inquiétude de la mission et promet faire la lumière sur les événements survenus dans ces zones.
"Face à ces développements, en vue d’apaiser la situation et de contribuer à protéger les droits des électeurs et des candidats, l’ONUCI a initié une enquête immédiate en coopération avec le gouvernement pour aider à faire la lumière sur les événements ayant marqué la reprise des élections législatives dans ces deux circonscriptions, le 26 février 2012", a-t-il annoncé.
Des incidents ont émaillé les élections législatives partielles dans les circonscriptions de Bonon et de Facobly alors que le scrutin du 11 décembre a été annulé par le Conseil constitutionnel en raison d’irrégularités évoquées par les différents candidats ayant saisi la juridiction en charge des contentieux électoraux, rappelle-t-on.
Lors du point de presse hebdomadaire de l’ONUCI, le porte-parole, Hamadoun Touré, tout en rappelant "l’impuissance" de la Commission électorale indépendante (CEI) à proclamer les résultats dans ces circonscriptions, relève l’inquiétude de la mission et promet faire la lumière sur les événements survenus dans ces zones.
"Face à ces développements, en vue d’apaiser la situation et de contribuer à protéger les droits des électeurs et des candidats, l’ONUCI a initié une enquête immédiate en coopération avec le gouvernement pour aider à faire la lumière sur les événements ayant marqué la reprise des élections législatives dans ces deux circonscriptions, le 26 février 2012", a-t-il annoncé.
Des incidents ont émaillé les élections législatives partielles dans les circonscriptions de Bonon et de Facobly alors que le scrutin du 11 décembre a été annulé par le Conseil constitutionnel en raison d’irrégularités évoquées par les différents candidats ayant saisi la juridiction en charge des contentieux électoraux, rappelle-t-on.
