La célébration d’un anniversaire est marquée par deux symboles forts. La joie d’avoir existé et l’espoir de continuer de vivre. C’est une date charnière, point de jonction entre le passé et l’avenir. Le passé pour Le Mandat est certes récent (trois ans), mais il est chargé d’évènements auxquels l’on donne, par commodité langagière, le qualificatif générique de ‘‘expérience’’. Notre expérience à nous est dense et riche de sa diversité. L’épuisement financier, le stress permanent, sans discontinue, la course effrénée à l’information, le regard condescendant de certains confrères ,les frustrations, les menaces et les attaques gratuites et bien évidemment, ce qu’on ne pourrait jamais passer sous silence à cause de ses effets stimulants et ragaillardissant, mais surtout par devoir de reconnaissance, les félicitations. Tout cela, trois ans durant. Cela durera encore jusqu’à 99 ans, la durée de vie d’une entreprise. Car pour nous, tout autre destin excluant ce vœu n’est nullement envisageable, encore moins concevable. Ceci est le premier symbole de notre célébration. La joie d’être né et d’avoir vécu pendant trois ans dans un secteur hautement concurrentiel, où une année en vaut plus. Trois ans d’existence, échafaudés par des vagues successives de journalistes, aussi méritants les uns que les autres.
Le second symbole, c’est l’espoir de rester debout, sans fléchir, malgré le poids des charges et les caprices des circonstances. Dans son entretien, cet espoir se transforme en défi, visant deux principaux objectifs. La notoriété et le succès commercial qui engendre la pérennité, notre but. C’est ici que réside l’hardiesse de la tâche. Offrir la qualité aux lecteurs, tout en faisant du chiffre. Dans tous les cas, il s’agira d’aller de l’avant; et pour y parvenir, deux contributions sont strictement nécessaires pour constituer, ensemble, le trépied sur lequel reposera le succès. Les lecteurs et les annonceurs. Les premiers, pour acheter et lire quotidiennement le journal, afin d’élargir son taux de pénétration; et les seconds, pour y faire régulièrement des annonces, autre source financière, si ce n’est la principale, des entreprises de presses. A ce propos, c’est avec regret que nous constatons le copinage entretenu dans le choix des journaux. En effet, l’on peut comprendre que, pour faire passer un message sur une page intérieure, l’annonceur tienne compte du taux de pénétration dans le choix de son support. Mais pour un bandeau à la Une, ce critère ne se justifie pas, en ce sens que tous les supports sont logés à la même enseigne, dans les kiosques à journaux.
Tous, autant qu’ils sont, bénéficient du regard du ‘‘tritrologue’’. Or, dans les campagnes médiatiques organisées par les Institutions de la République, qui ont le devoir d’assurer un traitement équitable aux médias, des organes sont exclus sans aucune autre forme de procès. C’est un facteur handicapant, dont la correction nous permettrait de faire le pas décisif qui conduit au pallier supérieur. En abordant ce nouveau virage, nous prenons l’engagement de vous servir un travail de qualité. En retour, nous attendons le soutien des lecteurs et l’accompagnement des Institutions de la République. Le poids de vos contributions se mesurera au prochain bilan. Merci pour ce que vous avez déjà fait et pour ce que vous ferez encore.
Ulrich Mouahet
Le second symbole, c’est l’espoir de rester debout, sans fléchir, malgré le poids des charges et les caprices des circonstances. Dans son entretien, cet espoir se transforme en défi, visant deux principaux objectifs. La notoriété et le succès commercial qui engendre la pérennité, notre but. C’est ici que réside l’hardiesse de la tâche. Offrir la qualité aux lecteurs, tout en faisant du chiffre. Dans tous les cas, il s’agira d’aller de l’avant; et pour y parvenir, deux contributions sont strictement nécessaires pour constituer, ensemble, le trépied sur lequel reposera le succès. Les lecteurs et les annonceurs. Les premiers, pour acheter et lire quotidiennement le journal, afin d’élargir son taux de pénétration; et les seconds, pour y faire régulièrement des annonces, autre source financière, si ce n’est la principale, des entreprises de presses. A ce propos, c’est avec regret que nous constatons le copinage entretenu dans le choix des journaux. En effet, l’on peut comprendre que, pour faire passer un message sur une page intérieure, l’annonceur tienne compte du taux de pénétration dans le choix de son support. Mais pour un bandeau à la Une, ce critère ne se justifie pas, en ce sens que tous les supports sont logés à la même enseigne, dans les kiosques à journaux.
Tous, autant qu’ils sont, bénéficient du regard du ‘‘tritrologue’’. Or, dans les campagnes médiatiques organisées par les Institutions de la République, qui ont le devoir d’assurer un traitement équitable aux médias, des organes sont exclus sans aucune autre forme de procès. C’est un facteur handicapant, dont la correction nous permettrait de faire le pas décisif qui conduit au pallier supérieur. En abordant ce nouveau virage, nous prenons l’engagement de vous servir un travail de qualité. En retour, nous attendons le soutien des lecteurs et l’accompagnement des Institutions de la République. Le poids de vos contributions se mesurera au prochain bilan. Merci pour ce que vous avez déjà fait et pour ce que vous ferez encore.
Ulrich Mouahet
