Le secrétaire général du Syndicat national des sages-femmes ivoiriennes (Synsfi), Mme Hélène Gnionsahé, a demandé à ses consœurs de faire preuve de professionnalisme, d’abnégation et de disponibilité dans l’exercice de leurs fonctions. En clair, les sages-femmes ont été amenées à faire le bilan de leurs prestations, le samedi 10 mars dernier, lors de l’investiture de la secrétaire de la section du Chu de Treichville du Synsfi, Mme Aka née Bitty Patricia.
«Veuillez à ce que toutes vos activités soient inscrites dans les dossiers compte tenu du contexte socio- politique. Faites le bilan de vos prestations en vue de mériter la confiance des populations», a-t-elle recommandé. Mme Hélène Gnionsahé a, en outre, demandé beaucoup de tolérance, de solidarité, de courage et de persévérance. Elle a souhaité que l’école des sages-femmes de l’Infas soit autonome et que la matière obstétrique soit l’une des plus importantes de la formation.
La marraine de la cérémonie, Mme Angélique Bohoussou, épouse du professeur en gynéco-obstétrique Bohoussou Marcellin, a abondé dans le même sens que la secrétaire générale du Synsfi. «La sage-femme doit avoir le savoir- faire. C’est une honte qu’une sage-femme ne sache pas faire un accouchement. Si nous voulons que la population nous accorde son estime et la Justice nous épargne des différends, exerçons notre métier avec abnégation », a-t-elle conseillé. La marraine a, par ailleurs, exhorté ses filleules à constamment se recycler. Elle voudrait que l’Ordre des sages-femmes soit mis en place en vue du code de déontologie pour la bonne marche de la profession et la protection des sages-femmes.
Mme Aka Patricia a promis de diriger la section du Chu de Treichville avec dynamisme, honnêteté et professionnalisme.
Gomon Edmond
«Veuillez à ce que toutes vos activités soient inscrites dans les dossiers compte tenu du contexte socio- politique. Faites le bilan de vos prestations en vue de mériter la confiance des populations», a-t-elle recommandé. Mme Hélène Gnionsahé a, en outre, demandé beaucoup de tolérance, de solidarité, de courage et de persévérance. Elle a souhaité que l’école des sages-femmes de l’Infas soit autonome et que la matière obstétrique soit l’une des plus importantes de la formation.
La marraine de la cérémonie, Mme Angélique Bohoussou, épouse du professeur en gynéco-obstétrique Bohoussou Marcellin, a abondé dans le même sens que la secrétaire générale du Synsfi. «La sage-femme doit avoir le savoir- faire. C’est une honte qu’une sage-femme ne sache pas faire un accouchement. Si nous voulons que la population nous accorde son estime et la Justice nous épargne des différends, exerçons notre métier avec abnégation », a-t-elle conseillé. La marraine a, par ailleurs, exhorté ses filleules à constamment se recycler. Elle voudrait que l’Ordre des sages-femmes soit mis en place en vue du code de déontologie pour la bonne marche de la profession et la protection des sages-femmes.
Mme Aka Patricia a promis de diriger la section du Chu de Treichville avec dynamisme, honnêteté et professionnalisme.
Gomon Edmond