Si le ridicule pouvait tuer Anjorin et son club de soutien en seraient mort. Le GARF, véritable fan club crée par le béninois, Anjorin Moucharafou pour déifier Issa Hayatou a pondu un communiqué le week end dernier. Cette note pour le moins laconique pouvait passer inaperçu si le porteur de serviette du président de la confédération africaine de football n’avait pas jeté un pavé dans la marre de la Côte d’Ivoire. En effet, dans un communiqué qui se voulait être un satisfecit après l’annonce de la candidature du camerounais Issa Hayatou lors de la dernière assemblée générale ordinaire de la CAF à Libreville, Anjorin Moucharafou a cru saisir l’occasion de s’élever contre une autre candidature annoncée ou supposer au prochain congrès électif de la CAF en 2013.
Certainement, l’article de votre serviteur qui lever le lièvre sur une probable candidature ivoirienne à ce poste a dû échauder celui a échoué à être membre du comité exécutif de la CAF malgré tous ses services rendus à Hayatou. Dans ce communiqué du Garf qui n’existe qu’à travers des tee-shirts et autres calendriers à l’effigie du président de la CAF, Anjorin sert sa musique ressassée et d’un autre âge. Issa est le plus beau et il a réinventé le football africain. Il est la corde de l’unité africaine et tutti quanta. « Le Dr Hayatou a donné une dimension incommensurable au football africain » se fend-t-il. Mais en réalité, la seule vraie raison d’une telle sortie du Garf qui n’arrive plus à distribuer les gadgets à l’effigie du patron du football africain se trouve ailleurs. Il faut juste lire la suite du communiqué. « Le Bureau Directeur du GARF Afrique a appris avec désolation, la candidature d’un membre du Comité Exécutif de la Confédération Africaine de Football et ancien président de fédération », souligne le Garf. C’est donc les bruits de candidature d’un pays ou d’une personne qui est à l’origine de cette sortie pour le moins peu élégante d’Anjorin et ses amis.
Pour eux personne, en dehors d’issa Hayatou ne doit briguer le poste de président de la CAF sous le prétexte que ce dernier aurait réinventé l’eau chaude. Et comme si leur désolation de leur suffisait pas, le Garf d4anjorin et autres a cru bon de donner dans l’intimidation. « C’est pourquoi le GARF Afrique n’acceptera jamais que cette situation ne vienne envenimer la cohésion d’une Afrique que les créateurs de conflits cherchent à mettre en mal », menace à peine le Garf. Qui est donc le Garf pour ne pas accepter une autre candidature en dehors de celle d’Issa Hayatou en poste depuis 1988 ? Rien à part une structure fantoche qui n’a aucune existence sérieuse. Crée par Anjorin en 2005, cette structure ressemble bien plus à un club de soutien à Issa Hayatou qu’à une véritable cellule de réflexion. Car en dehors d’éditer des calendriers et autres t-Shirts à l’effigie de l’homme de Garoua, le Garf n’existe que dans l’esprit du béninois Anjorin. C’est le moyen pour lui de rester dans les baskets du boss du football africain pour mieux porter, comme quelque le disait il y a quelques années les serviettes de ce dernier. Mais qu’Anjorin se réveille de son dogmatique sommeil.
Car si la Côte d’Ivoire veut aller à la conquête de la CAF avec un ancien président de fédération comme il le souligne dans son texte, elle ira. Sans se soucier de tous ces suiveurs qui se sont regroupés au sein du Garf. Car en réalité quand Anjorin parle de la volonté d’un ancien président de se porter candidat, c’est bien à Jacques Anouma qu’il fait allusion. Même s’il ne le cite pas nommément par manque certainement de courage, tout le monde sait même si Anouma n’est pas concerné, il est tout de même visé par ceux qui n’existent à la CAF que par l’entregent d’Issa Hayatou.
Certainement, l’article de votre serviteur qui lever le lièvre sur une probable candidature ivoirienne à ce poste a dû échauder celui a échoué à être membre du comité exécutif de la CAF malgré tous ses services rendus à Hayatou. Dans ce communiqué du Garf qui n’existe qu’à travers des tee-shirts et autres calendriers à l’effigie du président de la CAF, Anjorin sert sa musique ressassée et d’un autre âge. Issa est le plus beau et il a réinventé le football africain. Il est la corde de l’unité africaine et tutti quanta. « Le Dr Hayatou a donné une dimension incommensurable au football africain » se fend-t-il. Mais en réalité, la seule vraie raison d’une telle sortie du Garf qui n’arrive plus à distribuer les gadgets à l’effigie du patron du football africain se trouve ailleurs. Il faut juste lire la suite du communiqué. « Le Bureau Directeur du GARF Afrique a appris avec désolation, la candidature d’un membre du Comité Exécutif de la Confédération Africaine de Football et ancien président de fédération », souligne le Garf. C’est donc les bruits de candidature d’un pays ou d’une personne qui est à l’origine de cette sortie pour le moins peu élégante d’Anjorin et ses amis.
Pour eux personne, en dehors d’issa Hayatou ne doit briguer le poste de président de la CAF sous le prétexte que ce dernier aurait réinventé l’eau chaude. Et comme si leur désolation de leur suffisait pas, le Garf d4anjorin et autres a cru bon de donner dans l’intimidation. « C’est pourquoi le GARF Afrique n’acceptera jamais que cette situation ne vienne envenimer la cohésion d’une Afrique que les créateurs de conflits cherchent à mettre en mal », menace à peine le Garf. Qui est donc le Garf pour ne pas accepter une autre candidature en dehors de celle d’Issa Hayatou en poste depuis 1988 ? Rien à part une structure fantoche qui n’a aucune existence sérieuse. Crée par Anjorin en 2005, cette structure ressemble bien plus à un club de soutien à Issa Hayatou qu’à une véritable cellule de réflexion. Car en dehors d’éditer des calendriers et autres t-Shirts à l’effigie de l’homme de Garoua, le Garf n’existe que dans l’esprit du béninois Anjorin. C’est le moyen pour lui de rester dans les baskets du boss du football africain pour mieux porter, comme quelque le disait il y a quelques années les serviettes de ce dernier. Mais qu’Anjorin se réveille de son dogmatique sommeil.
Car si la Côte d’Ivoire veut aller à la conquête de la CAF avec un ancien président de fédération comme il le souligne dans son texte, elle ira. Sans se soucier de tous ces suiveurs qui se sont regroupés au sein du Garf. Car en réalité quand Anjorin parle de la volonté d’un ancien président de se porter candidat, c’est bien à Jacques Anouma qu’il fait allusion. Même s’il ne le cite pas nommément par manque certainement de courage, tout le monde sait même si Anouma n’est pas concerné, il est tout de même visé par ceux qui n’existent à la CAF que par l’entregent d’Issa Hayatou.