Antoine Bahi, Administrateur de l’Africa Sports d’Abidjan:
«Nous attendions cette occasion pour que vous éclairiez l’opinion nationale. Vous avez le soutien de la grande famille Vert et Rouge. Je suis très content que vous évoquiez le fait que je vous ai dit, que l’Africa Sports était un club à problèmes et que sans hésiter, vous m’avez dit que vous y serez quelles que soient les difficultés. Aujourd’hui, nous sommes tous convaincus que nous avons effectivement un leader. Nous allons nous battre. Vous savez, nous sortons d’une crise et il est difficile de se mêler des choses de l’Etat comme ça. Trop de choses sont et ont été dites. Mais sachez qu’à partir d’aujourd’hui, quiconque s’attaque à vous, nous trouvera sur son chemin. Car nous à l’Africa Sports, nous savons nous battre. On a joué la carte de la prudence parce qu’on attendait que le président nous éclaire sur cette histoire de déchets toxiques. Je le répète et je prends à témoin toute la presse ici présente, celui qui s’attaque à notre président nous trouvera sur son chemin. Car ce n’est pas seulement au président Koné, qu’il s’attaque, mais c’est à toute la grande famille Vert et Rouge. C’est trop facile de raconter des choses sur la vie des gens. Nous à l’Africa, nous voulons avancer. Monsieur Koné vous êtes un grand homme.»
Doré Lacina, ancien président de l’Africa Sports d’Abidjan:
«Ce que je voudrais dire, c’est que le président Koné Cheick est un chef d’entreprise. Comme tel, il a l’expérience de la gestion des affaires. Il a mis ses moyens à la disposition du club. Et ce qu’on ne dit pas assez, c’est de dire dans quel état il a repris le club. Il n’y avait ni équipements, ni cars de transport. Il n’y avait que des problèmes à résoudre. Et quand demain tout ira pour le mieux, on dira que c’est de l’Africa qu’il vit. Sous lui, c’est la première fois que les joueurs de l’Africa Sports ont des salaires de 350 000 F CFA sans compter les primes. Moi-même quand j’étais président, les salaires étaient de 250 000 FCFA. Seuls les joueurs étrangers étaient payés à 300 000 FCFA. Il faut que le président ne soit pas surpris de tout ce qui se passe. Mais pire, la majeure partie de ces dénigrements-là, provient des membres du club. Il faut donc que le président s’arme de beaucoup de courage, car l’Africa Sports ne se construira pas en un an. Il lui faut des années et peut-être même deux ou trois mandats. Si quelqu’un veut attaquer le président, il faut qu’il le fasse sur un autre terrain, mais pas sur celui qui veut s’investir pour la bonne marche de l’Africa Sports. Car ce que Monsieur Koné fait pour l’Africa, c’est aussi pour la jeunesse ivoirienne».
Amédée Assi, président du Gepci :
«Je tenais à dire merci à mon frère Alafé de m’avoir invité à cette cérémonie que je découvre. J’ai été heureux de participer à ce débat et surtout de découvrir aussi monsieur Koné Cheick Oumar. Je suis propriétaire de journaux de Sport mais je ne le connaissais pas physiquement. Je ne peux que l’encourager parce que si l’Africa Sports est fort, l’Asec sera forcément fort et c’est la Côte d’Ivoire qui gagne. A l’endroit de mon frère Alafé, je voudrais l’encourager à continuer d’organiser ce genre de rencontres qui permettent à des personnalités de s’exprimer et de se vider.»
«Nous attendions cette occasion pour que vous éclairiez l’opinion nationale. Vous avez le soutien de la grande famille Vert et Rouge. Je suis très content que vous évoquiez le fait que je vous ai dit, que l’Africa Sports était un club à problèmes et que sans hésiter, vous m’avez dit que vous y serez quelles que soient les difficultés. Aujourd’hui, nous sommes tous convaincus que nous avons effectivement un leader. Nous allons nous battre. Vous savez, nous sortons d’une crise et il est difficile de se mêler des choses de l’Etat comme ça. Trop de choses sont et ont été dites. Mais sachez qu’à partir d’aujourd’hui, quiconque s’attaque à vous, nous trouvera sur son chemin. Car nous à l’Africa Sports, nous savons nous battre. On a joué la carte de la prudence parce qu’on attendait que le président nous éclaire sur cette histoire de déchets toxiques. Je le répète et je prends à témoin toute la presse ici présente, celui qui s’attaque à notre président nous trouvera sur son chemin. Car ce n’est pas seulement au président Koné, qu’il s’attaque, mais c’est à toute la grande famille Vert et Rouge. C’est trop facile de raconter des choses sur la vie des gens. Nous à l’Africa, nous voulons avancer. Monsieur Koné vous êtes un grand homme.»
Doré Lacina, ancien président de l’Africa Sports d’Abidjan:
«Ce que je voudrais dire, c’est que le président Koné Cheick est un chef d’entreprise. Comme tel, il a l’expérience de la gestion des affaires. Il a mis ses moyens à la disposition du club. Et ce qu’on ne dit pas assez, c’est de dire dans quel état il a repris le club. Il n’y avait ni équipements, ni cars de transport. Il n’y avait que des problèmes à résoudre. Et quand demain tout ira pour le mieux, on dira que c’est de l’Africa qu’il vit. Sous lui, c’est la première fois que les joueurs de l’Africa Sports ont des salaires de 350 000 F CFA sans compter les primes. Moi-même quand j’étais président, les salaires étaient de 250 000 FCFA. Seuls les joueurs étrangers étaient payés à 300 000 FCFA. Il faut que le président ne soit pas surpris de tout ce qui se passe. Mais pire, la majeure partie de ces dénigrements-là, provient des membres du club. Il faut donc que le président s’arme de beaucoup de courage, car l’Africa Sports ne se construira pas en un an. Il lui faut des années et peut-être même deux ou trois mandats. Si quelqu’un veut attaquer le président, il faut qu’il le fasse sur un autre terrain, mais pas sur celui qui veut s’investir pour la bonne marche de l’Africa Sports. Car ce que Monsieur Koné fait pour l’Africa, c’est aussi pour la jeunesse ivoirienne».
Amédée Assi, président du Gepci :
«Je tenais à dire merci à mon frère Alafé de m’avoir invité à cette cérémonie que je découvre. J’ai été heureux de participer à ce débat et surtout de découvrir aussi monsieur Koné Cheick Oumar. Je suis propriétaire de journaux de Sport mais je ne le connaissais pas physiquement. Je ne peux que l’encourager parce que si l’Africa Sports est fort, l’Asec sera forcément fort et c’est la Côte d’Ivoire qui gagne. A l’endroit de mon frère Alafé, je voudrais l’encourager à continuer d’organiser ce genre de rencontres qui permettent à des personnalités de s’exprimer et de se vider.»