Jacques Anouma veut à tout prix briguer le poste de président de la CAF, le 10 mars 2013 au Maroc, lors de l’Assemblée générale élective de la Confédération africaine de football. Devant l’attentisme de la FIF à valider son parrainage, toutes les possibilités sont envisageables.
Les jours passent mais se ressemblent pour le camp Jacques Anouma. Encore en attente du feu vert officiel de la Fédération ivoirienne de football (FIF) après la demande de parrainage de sa candidature au poste de président de la Confédération africaine de football (CAF) lors de la prochaine élection, le 10 mars 2013 au Maroc, le candidat ivoirien commence à trouver le temps long. Qu’est-ce qui peut encore empêcher Augustin Sidy Diallo de valider la candidature et donner l’occasion à Jacques Anouma de dérouler son ambitieux programme de campagne ? Dans les couloirs de la FIF, il se susurrait que le silence observé par la maison de verre était lié à l’importantissime rencontre de qualification pour les éliminatoires CAN 2013 contre le Sénégal. Voulant éviter de se mettre à dos la CAF et ses arbitres, Sidy Diallo aurait confié, off record, qu’il se prononcerait une fois la qualification dans la poche. Ce qui est chose faite depuis le 13 octobre à Dakar. Mais depuis, l’attente perdure. Or, le dépôt des candidatures à l’élection s’ouvre le 10 novembre 2012. Le camp d’Anouma, décidé à aller jusqu’au bout après avoir échoué à faire rejeter le projet d’amendement des textes de la CAF lors de l’Assemblée générale tenue aux Seychelles, le 3 septembre 2012 (Ndlr : le projet d’amendement a été adopté avec 44 voix pour et 6 voix contre dont celle du Mali), n’abdique pas. Les réunions se succèdent. Le plan de campagne est même prêt. «J’attends que la FIF présente ma candidature, même si les textes permettent qu’une autre Fédération puisse la porter…», avait rappelé Anouma. Ne faut-il pas actionner le plan B surtout que le Mali, le Liberia, le Sénégal, le Niger ou encore le Burundi sont prêts à voler à son secours ?
Guy-Florentin Yameogo
Les jours passent mais se ressemblent pour le camp Jacques Anouma. Encore en attente du feu vert officiel de la Fédération ivoirienne de football (FIF) après la demande de parrainage de sa candidature au poste de président de la Confédération africaine de football (CAF) lors de la prochaine élection, le 10 mars 2013 au Maroc, le candidat ivoirien commence à trouver le temps long. Qu’est-ce qui peut encore empêcher Augustin Sidy Diallo de valider la candidature et donner l’occasion à Jacques Anouma de dérouler son ambitieux programme de campagne ? Dans les couloirs de la FIF, il se susurrait que le silence observé par la maison de verre était lié à l’importantissime rencontre de qualification pour les éliminatoires CAN 2013 contre le Sénégal. Voulant éviter de se mettre à dos la CAF et ses arbitres, Sidy Diallo aurait confié, off record, qu’il se prononcerait une fois la qualification dans la poche. Ce qui est chose faite depuis le 13 octobre à Dakar. Mais depuis, l’attente perdure. Or, le dépôt des candidatures à l’élection s’ouvre le 10 novembre 2012. Le camp d’Anouma, décidé à aller jusqu’au bout après avoir échoué à faire rejeter le projet d’amendement des textes de la CAF lors de l’Assemblée générale tenue aux Seychelles, le 3 septembre 2012 (Ndlr : le projet d’amendement a été adopté avec 44 voix pour et 6 voix contre dont celle du Mali), n’abdique pas. Les réunions se succèdent. Le plan de campagne est même prêt. «J’attends que la FIF présente ma candidature, même si les textes permettent qu’une autre Fédération puisse la porter…», avait rappelé Anouma. Ne faut-il pas actionner le plan B surtout que le Mali, le Liberia, le Sénégal, le Niger ou encore le Burundi sont prêts à voler à son secours ?
Guy-Florentin Yameogo