Seule représentant ivoirien en Coupe de la Confédération, l’Asec Mimosas s’envole aujourd’hui pour le Burkina Faso où elle croise, samedi, l’Efo. Pour ce match des 16èmes de finale de cette compétition, l’Asec visage un premier objectif : marquer à l’extérieur.
Les trois matches de la Ligue 1 et celui de la super-Coupe Houphouët-Boigny suffisent-ils à votre équipe pour réussir un bon résultat samedi à Ouagadougou contre l’Etoile Filante de Ouagadougou (EFO) ?
Je crois que oui, parce qu’on a pu réunir tout notre monde et les voir surtout en situation réelle de jeu. Les trois matches de championnat ponctués par deux victoires et un nul plus celui de la super Coupe Houphouët-Boigny permettent de nous donner une bonne vision vu les résultats que nous avons enregistrés. Pour l’entraîneur que je suis, c’est largement positif, même s’il y a encore des choses à parfaire. De toutes les façons, un club ne finit jamais de travailler et de se parfaire.
Ce bon début de championnat national peut-il augurer d’un bon résultat samedi au stade du 4 août contre l’EFO au Burkina Faso?
Il n’y a pas de matches de Coupe d’Afrique faciles. Ils sont difficiles où qu’ils se déroulent. Avec des arbitrages spécifiques, des environnements particuliers. Mais en toute humilité, nous pensons que nous pouvons faire un résultat positif, c’est possible. Mais ce dont je suis convaincu, c’est qu’on va jouer notre jeu, quoi qu’il arrive.
Avec le renouvellement à 80% de votre effectif de la saison dernière, avez-vous pu refaire un nouveau groupe pour en tirer l’équipe idéale ?
Prenez les exemples de tous les clubs au monde. Quand on change un effectif de 80% comme nous l’avons fait, tout, évidemment, change. L’équipe ne joue plus avec la même fluidité dans le jeu comme avant. C’est clair, on a eu un trou dans l’effectif qui fait qu’on ne plus avoir la même production au niveau du jeu, mais on y travaille. Nous savons qu’il reste beaucoup à faire.
Vous êtes donc d’accord avec nous pour dire que le jeu de l’Asec a changé dans le fond.
L’équipe ne procède plus par attaque placée, mais par longs ballons…
C’est sans doute vrai, mais le football a évolué. La technique seule ne suffit plus pour gagner un match ou une compétition. Le principe reste le même : il faut toujours être efficace pour répondre aux exigences professionnelles. La saison dernière, on a été l’équipe la plus joueuse de la Coupe d’Afrique, mais on est sorti prématurément. Aujourd’hui, on regarde d’abord le résultat, le beau jeu vient après même si ça compte en football.
Avez-vous des appréhensions pour le match de samedi contre l’Efo ?
Avoir des appréhensions, c’est un peu trop dire, cependant, on pressent que nos débuts augurent d’un bon match là-bas. Même si c’est notre première grosse échéance après la super Coupe Houphouët-Boigny. Il faut juste qu’on arrive à jouer notre jeu et appliquer strictement les consignes pour qu’on puisse rester dans le bon ton en attendant le match retour. A Ouagadougou, il faut surtout marquer.
Avez-vous eu les attaquants dont vous rêviez après le départ Kayodé et Bakayoko ?
C’est un peu trop tôt de le dire. Le jeune Gbagbo Laurent sur qui nous fondons d’espoir est out pour une dizaine de jours, Dogba Ange est en train de parfaire sa condition physique, Diabaté Samba a du mal à marquer. Mais je sais qu’avec le temps, ils vont se retrouver pour le bonheur du club.
Les trois matches de la Ligue 1 et celui de la super-Coupe Houphouët-Boigny suffisent-ils à votre équipe pour réussir un bon résultat samedi à Ouagadougou contre l’Etoile Filante de Ouagadougou (EFO) ?
Je crois que oui, parce qu’on a pu réunir tout notre monde et les voir surtout en situation réelle de jeu. Les trois matches de championnat ponctués par deux victoires et un nul plus celui de la super Coupe Houphouët-Boigny permettent de nous donner une bonne vision vu les résultats que nous avons enregistrés. Pour l’entraîneur que je suis, c’est largement positif, même s’il y a encore des choses à parfaire. De toutes les façons, un club ne finit jamais de travailler et de se parfaire.
Ce bon début de championnat national peut-il augurer d’un bon résultat samedi au stade du 4 août contre l’EFO au Burkina Faso?
Il n’y a pas de matches de Coupe d’Afrique faciles. Ils sont difficiles où qu’ils se déroulent. Avec des arbitrages spécifiques, des environnements particuliers. Mais en toute humilité, nous pensons que nous pouvons faire un résultat positif, c’est possible. Mais ce dont je suis convaincu, c’est qu’on va jouer notre jeu, quoi qu’il arrive.
Avec le renouvellement à 80% de votre effectif de la saison dernière, avez-vous pu refaire un nouveau groupe pour en tirer l’équipe idéale ?
Prenez les exemples de tous les clubs au monde. Quand on change un effectif de 80% comme nous l’avons fait, tout, évidemment, change. L’équipe ne joue plus avec la même fluidité dans le jeu comme avant. C’est clair, on a eu un trou dans l’effectif qui fait qu’on ne plus avoir la même production au niveau du jeu, mais on y travaille. Nous savons qu’il reste beaucoup à faire.
Vous êtes donc d’accord avec nous pour dire que le jeu de l’Asec a changé dans le fond.
L’équipe ne procède plus par attaque placée, mais par longs ballons…
C’est sans doute vrai, mais le football a évolué. La technique seule ne suffit plus pour gagner un match ou une compétition. Le principe reste le même : il faut toujours être efficace pour répondre aux exigences professionnelles. La saison dernière, on a été l’équipe la plus joueuse de la Coupe d’Afrique, mais on est sorti prématurément. Aujourd’hui, on regarde d’abord le résultat, le beau jeu vient après même si ça compte en football.
Avez-vous des appréhensions pour le match de samedi contre l’Efo ?
Avoir des appréhensions, c’est un peu trop dire, cependant, on pressent que nos débuts augurent d’un bon match là-bas. Même si c’est notre première grosse échéance après la super Coupe Houphouët-Boigny. Il faut juste qu’on arrive à jouer notre jeu et appliquer strictement les consignes pour qu’on puisse rester dans le bon ton en attendant le match retour. A Ouagadougou, il faut surtout marquer.
Avez-vous eu les attaquants dont vous rêviez après le départ Kayodé et Bakayoko ?
C’est un peu trop tôt de le dire. Le jeune Gbagbo Laurent sur qui nous fondons d’espoir est out pour une dizaine de jours, Dogba Ange est en train de parfaire sa condition physique, Diabaté Samba a du mal à marquer. Mais je sais qu’avec le temps, ils vont se retrouver pour le bonheur du club.
