C’était la consternation, le vendredi dernier aux environs de 13H (GMT) au quartier Maroc de Yopougon (Abidjan Est). Le domicile de Dégnan Gnédo Désiré, Secrétaire général du Conseil d’Administration du Fonds de Solidarité des Agents du Trésor de Côte d’Ivoire (FOSAT-CI), est parti en fumée. Plus de 7,5 millions de dégât y ont été causé.
En effet, selon des témoignages recoupés et concordants, à 13H, pendant que ses aînés suivaient le journal télévisé sur la terrasse de la maison, le plus jeune (5 ans en classe de CP1) des enfants de Gnédo Désiré les empêchait de bien suivre les informations. C’est alors qu’un d’entre les aînés lui demande de s’éloigner. L’enfant se refugie dans la chambre de ses aînés. Là, il trouve sur leur table une bougie et une boite d’allumettes. Il met le feu à la mèche et joue à orienter la flamme selon le vent. Soudain, il entend crier son nom. L’enfant panique, croyant qu’il a été vu par son aîné qui l’appelait. Il balance sans mesure la bougie allumée derrière lui et s’enfuit rejoindre la petite famille sur la terrasse. La bougie allumée finit sa course sur le matelas du lit. La flamme prend peu à peu la chambre. Mais personne ne s’en rend compte. La flamme atteint le plafond, une fumée épaisse et compacte envahit le salon suivie d’une flamme qui s’annonçait déjà dans le couloir des chambres. C’est la panique générale. Tout le quartier converge vers la cour des Dégnan Gnédo. Eau, sable et tout ce qui pouvait arrêter le feu s’abattent sur la maison. Mais il était déjà trop tard. Le sinistre était consommé. La chambre d’où est parti le feu est totalement calcinée. Le salon et se meubles réduits en cendre. Toute la moitié de la toiture aussi. Pendant ce temps, monsieur et madame Gnédo à leurs lieux de travail respectifs son surpris par la mauvaise nouvelle. Ils rentrent d’urgence à la maison. Le constat est là. Plus de la moitié de la maison est partie en fumée. C’est avec les larmes au bord des paupières que Désiré Gnédo nous dit : "C’est toute une vie qui vient de partir en fumée". En plus du matériel et les meubles, les diplômes et autres documents ont tous brûlé. Une estimation des meubles avant l’évaluation d’expert immobilier pour la réparation des dégâts (toit, mur et plafond) c’est une perte d’environ 7,5 millions, selon le sinistré, Désiré Gnédo Dégnan. C’est aussi les conséquences parallèles des coupures intempestives aux allures de délestage que vivent les habitants de Yopougon depuis un moment. Chaque résident se procure des bougies en cas de coupure d’électricité. Chacun devra donc faire attention en les tenant hors de portée des enfants.
GUY TRESSIA
En effet, selon des témoignages recoupés et concordants, à 13H, pendant que ses aînés suivaient le journal télévisé sur la terrasse de la maison, le plus jeune (5 ans en classe de CP1) des enfants de Gnédo Désiré les empêchait de bien suivre les informations. C’est alors qu’un d’entre les aînés lui demande de s’éloigner. L’enfant se refugie dans la chambre de ses aînés. Là, il trouve sur leur table une bougie et une boite d’allumettes. Il met le feu à la mèche et joue à orienter la flamme selon le vent. Soudain, il entend crier son nom. L’enfant panique, croyant qu’il a été vu par son aîné qui l’appelait. Il balance sans mesure la bougie allumée derrière lui et s’enfuit rejoindre la petite famille sur la terrasse. La bougie allumée finit sa course sur le matelas du lit. La flamme prend peu à peu la chambre. Mais personne ne s’en rend compte. La flamme atteint le plafond, une fumée épaisse et compacte envahit le salon suivie d’une flamme qui s’annonçait déjà dans le couloir des chambres. C’est la panique générale. Tout le quartier converge vers la cour des Dégnan Gnédo. Eau, sable et tout ce qui pouvait arrêter le feu s’abattent sur la maison. Mais il était déjà trop tard. Le sinistre était consommé. La chambre d’où est parti le feu est totalement calcinée. Le salon et se meubles réduits en cendre. Toute la moitié de la toiture aussi. Pendant ce temps, monsieur et madame Gnédo à leurs lieux de travail respectifs son surpris par la mauvaise nouvelle. Ils rentrent d’urgence à la maison. Le constat est là. Plus de la moitié de la maison est partie en fumée. C’est avec les larmes au bord des paupières que Désiré Gnédo nous dit : "C’est toute une vie qui vient de partir en fumée". En plus du matériel et les meubles, les diplômes et autres documents ont tous brûlé. Une estimation des meubles avant l’évaluation d’expert immobilier pour la réparation des dégâts (toit, mur et plafond) c’est une perte d’environ 7,5 millions, selon le sinistré, Désiré Gnédo Dégnan. C’est aussi les conséquences parallèles des coupures intempestives aux allures de délestage que vivent les habitants de Yopougon depuis un moment. Chaque résident se procure des bougies en cas de coupure d’électricité. Chacun devra donc faire attention en les tenant hors de portée des enfants.
GUY TRESSIA