Un comité Ad’hoc chargé de l’organisation du congrès du syndicat national des agents de la presse privée de Côte d’Ivoire (Synapp-ci) a fixé la date dudit congrès aux 6,7 et 8 avril 2012.
Mais à peine annoncé que des voix discordantes lancent : «Cette date est en violation flagrante des textes de l’association. Même si nous saluons la volonté du secrétaire général sortant à appeler enfin à un congrès, depuis la fin du mandat de son bureau, le 31 janvier 2011. Mais le règlement intérieur stipule que les membres du congrès doivent être convoqués au moins 30 jours avant la tenue le congrès. Or le comité en charge de l’organisation du congrès ne s’est réunit que le 17 mars dernier, la date fixée n’est pas conforme aux textes», tacle Glodé Francelin Patrice, 1er secrétaire général adjoint du Synapp-ci, démissionnaire. Quand d’autres membres fondateurs du Snapp-ci se référant à l’article 5 du règlement intérieur soutiennent qu’«au regard des textes, en l’état actuel des choses, il est difficile de savoir qui sont ceux qui sont membres du collège électoral». Ils demandent «le report du congrès». Comme si l’on respectait les textes dans ce pays.
Eugène KOUADIO
Mais à peine annoncé que des voix discordantes lancent : «Cette date est en violation flagrante des textes de l’association. Même si nous saluons la volonté du secrétaire général sortant à appeler enfin à un congrès, depuis la fin du mandat de son bureau, le 31 janvier 2011. Mais le règlement intérieur stipule que les membres du congrès doivent être convoqués au moins 30 jours avant la tenue le congrès. Or le comité en charge de l’organisation du congrès ne s’est réunit que le 17 mars dernier, la date fixée n’est pas conforme aux textes», tacle Glodé Francelin Patrice, 1er secrétaire général adjoint du Synapp-ci, démissionnaire. Quand d’autres membres fondateurs du Snapp-ci se référant à l’article 5 du règlement intérieur soutiennent qu’«au regard des textes, en l’état actuel des choses, il est difficile de savoir qui sont ceux qui sont membres du collège électoral». Ils demandent «le report du congrès». Comme si l’on respectait les textes dans ce pays.
Eugène KOUADIO
