Les Directeurs de publications et Rédacteurs en chef étaient, d’hier, à la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères en séminaire de formation sur le nouveau code d’éthique et de déontologie. L’objectif selon le conférencier Alfred Dan Moussa est d’amener les journalistes à connaître et appliquer en intégralité le code.
« Nous devons respecter et faire respecter notre métier. Et cela passe obligatoirement par la connaissance et l’application de nos droits et devoirs dans l’exercice du journalisme», a déclaré Alfred Dan Moussa. La mission du journaliste a expliqué le conférencier, comporte nécessairement des limites qu’il doit s’imposer spontanément. Il est nécessaire a-t-il poursuivi, que les conditions concrètes de l’indépendance et de la dignité professionnelle soient réalisées et respectées. Ainsi, le journaliste doit entre autres, « respecter les faits, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité et du devoir qu’il a de rechercher avec persévérance et détermination la vérité » précise l’article 1 du code. Sur les 22 recommandations en ce qui concerne les devoirs , l’ex-président de l’observatoire de la liberté de la presse de l’éthique et de la déontologie (Olped) a insisté, sur l’article 4 et l’article 8 qui stipulent que le journaliste doit « défendre en tout lieu et en toute circonstance, la liberté qu’il a de commenter et de critiquer, en tenant le scrupule et le souci de la justice, de l’équité et de l’équilibre comme règle non négociable dans la publication et la diffusion honnête de ses informations » et « respecter la sacralité du fait et la liberté du commentaire en séparant- sans ambiguïté et par des moyens professionnels reconnus- l’un de l’autre ».
« Si nous mettons en pratique nos devoirs, personnes ne viendra nous interpeller sur quoique ce soit, comme c’est le cas très souvent », a conseillé Alfred Dan Moussa. Il a également exhorté les participants à cultiver l’esprit de confraternité dans les différentes rédactions, et cela, dans le respect des uns et des autres. Le séminaire prend fin aujourd’hui.
« Nous devons respecter et faire respecter notre métier. Et cela passe obligatoirement par la connaissance et l’application de nos droits et devoirs dans l’exercice du journalisme», a déclaré Alfred Dan Moussa. La mission du journaliste a expliqué le conférencier, comporte nécessairement des limites qu’il doit s’imposer spontanément. Il est nécessaire a-t-il poursuivi, que les conditions concrètes de l’indépendance et de la dignité professionnelle soient réalisées et respectées. Ainsi, le journaliste doit entre autres, « respecter les faits, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité et du devoir qu’il a de rechercher avec persévérance et détermination la vérité » précise l’article 1 du code. Sur les 22 recommandations en ce qui concerne les devoirs , l’ex-président de l’observatoire de la liberté de la presse de l’éthique et de la déontologie (Olped) a insisté, sur l’article 4 et l’article 8 qui stipulent que le journaliste doit « défendre en tout lieu et en toute circonstance, la liberté qu’il a de commenter et de critiquer, en tenant le scrupule et le souci de la justice, de l’équité et de l’équilibre comme règle non négociable dans la publication et la diffusion honnête de ses informations » et « respecter la sacralité du fait et la liberté du commentaire en séparant- sans ambiguïté et par des moyens professionnels reconnus- l’un de l’autre ».
« Si nous mettons en pratique nos devoirs, personnes ne viendra nous interpeller sur quoique ce soit, comme c’est le cas très souvent », a conseillé Alfred Dan Moussa. Il a également exhorté les participants à cultiver l’esprit de confraternité dans les différentes rédactions, et cela, dans le respect des uns et des autres. Le séminaire prend fin aujourd’hui.