Cet insipide mardi, le cyclone s’est levé
Les cœurs soufflés violemment caressés
Il a attendri avec élégance et ferme lâcheté
Pour préparer l’alcôve à la faux des Parques
Ces sublimes déesses ouvrières très sadiques
Frappant à la Pyrrhus les tendres âmes chéries.
Ces âmes défaites lâchent ainsi les amantes chéries
Pour plonger dans les dédales d’une thébaïde sinistre
Refuge de ces Voyageurs illuminés fichés et fixés dans un funeste Registre.
Parmi eux, l’immense et indéchiffrable Zadi Zaourou
Le prêtre de l’authentique et majestueux Didiga
Dont il adorait emboucher le magnifique arc
A la sublime voix surréelle qui divulgua
Les secrets de nos illustres aïeux
Qui ont fait leurs adieux
Comme Zaourou
Bottey
Zadi.
Non, non, non ,la terrible mort ne t’a pas tué, savant-pasteur Zadi !
Nous, tes lamantins goulus, puiserons toujours à ta douce source
Pour étancher notre soif de belles lettres et de poésie sanctifiées
Même s’il faut accoucher de nos vers après une vive «Césarienne»
Sous le «Fer de lance» de l’amour que tu as semé sur le riche limon
Qui constitue un vrai champ fertile pour «Les quatrains du dégoût».
Merci Bernard Bottey Zadi Zaourou, le poète, l’artiste, le démiurge!
Bon voyage! Ma déférence à Orphée et ses Muses! J’arrive, Maîtres!
Soilé Cheick Amidou*,
un adepte qui te pleure.
*Auteur d'Envoûtements, éd. dhArt, Canada.
Les cœurs soufflés violemment caressés
Il a attendri avec élégance et ferme lâcheté
Pour préparer l’alcôve à la faux des Parques
Ces sublimes déesses ouvrières très sadiques
Frappant à la Pyrrhus les tendres âmes chéries.
Ces âmes défaites lâchent ainsi les amantes chéries
Pour plonger dans les dédales d’une thébaïde sinistre
Refuge de ces Voyageurs illuminés fichés et fixés dans un funeste Registre.
Parmi eux, l’immense et indéchiffrable Zadi Zaourou
Le prêtre de l’authentique et majestueux Didiga
Dont il adorait emboucher le magnifique arc
A la sublime voix surréelle qui divulgua
Les secrets de nos illustres aïeux
Qui ont fait leurs adieux
Comme Zaourou
Bottey
Zadi.
Non, non, non ,la terrible mort ne t’a pas tué, savant-pasteur Zadi !
Nous, tes lamantins goulus, puiserons toujours à ta douce source
Pour étancher notre soif de belles lettres et de poésie sanctifiées
Même s’il faut accoucher de nos vers après une vive «Césarienne»
Sous le «Fer de lance» de l’amour que tu as semé sur le riche limon
Qui constitue un vrai champ fertile pour «Les quatrains du dégoût».
Merci Bernard Bottey Zadi Zaourou, le poète, l’artiste, le démiurge!
Bon voyage! Ma déférence à Orphée et ses Muses! J’arrive, Maîtres!
Soilé Cheick Amidou*,
un adepte qui te pleure.
*Auteur d'Envoûtements, éd. dhArt, Canada.