Les journalistes culturels étaient samedi les invités du candidat à la présidence de l’Unjci, Traoré Moussa. Au cours des échanges, « MT » a invité les journalistes à la vigilance car, dira dit-il, le temps de la campagne électorale est par excellence, le moment de prédilection des vendeurs d’illusions. Pour lui, tous les grands discours sur la formation des journalistes c’est du pipo car en vérité ce dont ont le plus besoin aujourd’hui ses confrères, ce sont des conditions d’existence matérielles acceptables. « Nous sommes tous formés, nous savons ce qu’il faut écrire, nous connaissons parfaitement l’éthique et la déontologie de notre métier. De Diegou Bailly à Mam Camara, combien de séminaires et stages de formation n’ont pas été organisés pour les journalistes, mais où en sommes nous ? ».
Traoré a donc décidé de faire du bien-être des journalistes son cheval de bataille, c’est pour cela qu’il croit en possibilité de lancer une opération immobilière pour les journalistes. Il énonce que « Si le Syninfo de Julien NGuessan l’a réussi, c’est que l’Unjci qui offre une villa par an à l’Ebony depuis des années, peut le réaliser".
Citant Karl Marx, « MT » a répété que ce sont les conditions d’existence matérielles qui déterminent la conscience des gens d’où la nécessité de mettre les journalistes à l’abri du besoin, la mère des vices. Pour cela, il dit avoir conçu des plans et un programme qui seront révélés lorsque la campagne sera ouverte. Il a lu un extrait du livre du ministre Sy Savané, intitulé, D’espérance et de douleurs vives, qui résume parfaitement ce pour quoi, il a décidé de briguer la présidence de l’Unjci : « Le journaliste ivoirien ne doit pas être un jeune mendiant au début de sa carrière et un vieux clochard à sa retraite ».
Il a par ailleurs insisté sur la nécessité de veiller à ce que personne ne commence sa carrière par le poste de président de l’UNJCI. D’où son appel pour que tous ceux qui veulent être président de l’UNJCI déclarent leurs biens afin que nul ne vienne à l’Unjci pour se réaliser où réaliser des ambitions personnelles. Encore vigilance, a-t-il recommandé.
Notons que "MT" avait à ses côtés, Dieusmonde Tadé , Claude Dassé, Solange Aralamon, Fidele Neto et Dibi Félix Bony. Un repas copieux a mis fin à la rencontre de samedi à la maison de la presse.
Edgar Kouassi
Traoré a donc décidé de faire du bien-être des journalistes son cheval de bataille, c’est pour cela qu’il croit en possibilité de lancer une opération immobilière pour les journalistes. Il énonce que « Si le Syninfo de Julien NGuessan l’a réussi, c’est que l’Unjci qui offre une villa par an à l’Ebony depuis des années, peut le réaliser".
Citant Karl Marx, « MT » a répété que ce sont les conditions d’existence matérielles qui déterminent la conscience des gens d’où la nécessité de mettre les journalistes à l’abri du besoin, la mère des vices. Pour cela, il dit avoir conçu des plans et un programme qui seront révélés lorsque la campagne sera ouverte. Il a lu un extrait du livre du ministre Sy Savané, intitulé, D’espérance et de douleurs vives, qui résume parfaitement ce pour quoi, il a décidé de briguer la présidence de l’Unjci : « Le journaliste ivoirien ne doit pas être un jeune mendiant au début de sa carrière et un vieux clochard à sa retraite ».
Il a par ailleurs insisté sur la nécessité de veiller à ce que personne ne commence sa carrière par le poste de président de l’UNJCI. D’où son appel pour que tous ceux qui veulent être président de l’UNJCI déclarent leurs biens afin que nul ne vienne à l’Unjci pour se réaliser où réaliser des ambitions personnelles. Encore vigilance, a-t-il recommandé.
Notons que "MT" avait à ses côtés, Dieusmonde Tadé , Claude Dassé, Solange Aralamon, Fidele Neto et Dibi Félix Bony. Un repas copieux a mis fin à la rencontre de samedi à la maison de la presse.
Edgar Kouassi