Le 5ème congrès du Syndicat national de la presse privée de Côte d’Ivoire aura lieu les 6, 7 et 8 avril prochains à la Maison de la presse (Mpa) d’Abidjan-Plateau sous la présidence (et la présence effective à la cérémonie d’ouverture) du ministre de la Communication, Diakité Coty Souleymane. L’annonce a été faite, hier lundi, à la Mpa, au cours d’une conférence de presse animée par le secrétaire général sortant, Guillaume T. Gbato. A cette occasion, le conférencier, qui avait à ses côtés le président du comité d’organisation, Sam Wacouboué, a, en plus des détails de l’organisation pratique et technique, révélé qu’il y aura de grandes réformes au niveau du syndicat. Pour lui, ce congrès aura bel et bien lieu aux dates indiquées. Par ailleurs, il a promis des dispositions sécuritaires en vue d’assises apaisées et sereines.
Candidat à sa propre succession, Guillaume Gbato a indiqué qu’il se devait de se représenter pour parachever le travail entamé. Et il a lu les dispositions de l’article 20 des textes du syndicat qui l’autorisent à se présenter à nouveau. Relevant que le Synapp-Ci comprend 14 sections, dont 11 à l’intérieur et 3 à Abidjan, il a reconnu que seuls les membres du bureau exécutif national, du conseil syndical et 3 membres par section sont habilités à prendre part aux travaux de ce congrès. Qui planchera sur l’ouverture du Synapp-Ci au secteur public, ce qui implique le changement de nom du syndicat et par ricochet de certains textes dont beaucoup doivent être très précis pour éviter dans l’avenir la cacophonie qui se vit en ce moment à la veille de la tenue du congrès. Il a aussi promis des changements au sein du secrétariat général et la mise sur pied d’un secrétariat exécutif. Il a, en outre, parlé de la création d’une mutuelle de tous les agents de la presse en Côte d’Ivoire.
Les journalistes l’ont amené à se prononcer sur la crise que connaît le Synapp-Ci. Selon lui, le congrès est l’organe suprême du Synapp-Ci. «Que ceux qui sont intéressés à la vie du Synapp-Ci et qui veulent y participer créent des sections dans leur entreprise. On va appliquer les textes. On va au congrès avec nos sections et instances. On ne peut pas nous intimider avec des manœuvres dilatoires. Tout le monde au Synapp-Ci peut se plaindre, sauf Glodé Francelin. Cela fait 13 ans que je milite au Synapp-Ci et je n’ai pas pour vocation de rester secrétaire général du Synapp-Ci », a rétorqué Guillaume Gbato qui a donné rendez-vous aux journalistes, vendredi prochain, à la Mpa, après le procès (où sera connu le verdict de cette affaire) qui l’oppose à Glodé Francelin. «Que le verdict soit en notre faveur ou pas, la conférence de presse de vendredi aura lieu. Et là, je pourrai mieux m’étendre sur cette affaire», a conclu le candidat.
Marcellin Boguy
Candidat à sa propre succession, Guillaume Gbato a indiqué qu’il se devait de se représenter pour parachever le travail entamé. Et il a lu les dispositions de l’article 20 des textes du syndicat qui l’autorisent à se présenter à nouveau. Relevant que le Synapp-Ci comprend 14 sections, dont 11 à l’intérieur et 3 à Abidjan, il a reconnu que seuls les membres du bureau exécutif national, du conseil syndical et 3 membres par section sont habilités à prendre part aux travaux de ce congrès. Qui planchera sur l’ouverture du Synapp-Ci au secteur public, ce qui implique le changement de nom du syndicat et par ricochet de certains textes dont beaucoup doivent être très précis pour éviter dans l’avenir la cacophonie qui se vit en ce moment à la veille de la tenue du congrès. Il a aussi promis des changements au sein du secrétariat général et la mise sur pied d’un secrétariat exécutif. Il a, en outre, parlé de la création d’une mutuelle de tous les agents de la presse en Côte d’Ivoire.
Les journalistes l’ont amené à se prononcer sur la crise que connaît le Synapp-Ci. Selon lui, le congrès est l’organe suprême du Synapp-Ci. «Que ceux qui sont intéressés à la vie du Synapp-Ci et qui veulent y participer créent des sections dans leur entreprise. On va appliquer les textes. On va au congrès avec nos sections et instances. On ne peut pas nous intimider avec des manœuvres dilatoires. Tout le monde au Synapp-Ci peut se plaindre, sauf Glodé Francelin. Cela fait 13 ans que je milite au Synapp-Ci et je n’ai pas pour vocation de rester secrétaire général du Synapp-Ci », a rétorqué Guillaume Gbato qui a donné rendez-vous aux journalistes, vendredi prochain, à la Mpa, après le procès (où sera connu le verdict de cette affaire) qui l’oppose à Glodé Francelin. «Que le verdict soit en notre faveur ou pas, la conférence de presse de vendredi aura lieu. Et là, je pourrai mieux m’étendre sur cette affaire», a conclu le candidat.
Marcellin Boguy