Depuis le mercredi 28 mars 2012, les relations entre la France et la Guinée-Equatoriale ont pris du plomb dans l’aile. Des juges français ont demandé au Parquet de Paris de lancer un mandat d’arrêt contre Teodorin Nguema Obiang Mangue, ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et de la Forêt de Guinée-Equatoriale. Dans le cadre de l'enquête ouverte en France sur les biens mal acquis.
«Devant cette provocation ouverte contre l'Etat équato-guinéen, le gouvernement recommande au gouvernement français qu'il prenne des mesures immédiates pour freiner la continuité de ces actions déstabilisatrices. Le gouvernement se réserve le droit d'agir en réciprocité : si la France veut une rupture de ses relations avec l'Etat équato-guinéen de façon unilatérale, qu'elle le manifeste clairement et les entreprises françaises devront partager les conséquences négatives qui découlent de cette situation. Le gouvernement équato-guinéen est conscient que l'unique but des juges, autorités et agents français est de provoquer une déstabilisation interne de la République de Guinée équatoriale. Le gouvernement prévient que la Guinée équatoriale n'est pas une ancienne colonie française (...) et que ses relations avec la France se limitent à celles du droit international. Il rappelle également que les manœuvres déstabilisatrices n'ont jamais prospéré dans le pays, comme en témoignent les tentatives avortées d'invasions de mercenaires enregistrées dans le passé », dixit le gouvernement équato-guinéen. En plus du communiqué du gouvernement Equato-guinéen, Teodorin Nguema Obiang Mangue, a eu le soutien de ses frères Africains de l’ONG : Dignité et Conscience Africaine. Dans les jours à venir, ils prévoient à travers marches et conférences à Paris, dénoncer en compagnie de la diaspora Africaine, une énième tentative de déstabilisation de l’Afrique et ses dirigeants. D’autres tournées sont également prévues dans les capitales africaines jusqu’à ce que les juges français abandonnent ces charges non fondées. L’ONG : Dignité et Conscience Africaine voudrait aussi apporter tout son soutien à Me Emmanuel Marsigny, Avocat du fils de Nguema.
Dosso Villard
«Devant cette provocation ouverte contre l'Etat équato-guinéen, le gouvernement recommande au gouvernement français qu'il prenne des mesures immédiates pour freiner la continuité de ces actions déstabilisatrices. Le gouvernement se réserve le droit d'agir en réciprocité : si la France veut une rupture de ses relations avec l'Etat équato-guinéen de façon unilatérale, qu'elle le manifeste clairement et les entreprises françaises devront partager les conséquences négatives qui découlent de cette situation. Le gouvernement équato-guinéen est conscient que l'unique but des juges, autorités et agents français est de provoquer une déstabilisation interne de la République de Guinée équatoriale. Le gouvernement prévient que la Guinée équatoriale n'est pas une ancienne colonie française (...) et que ses relations avec la France se limitent à celles du droit international. Il rappelle également que les manœuvres déstabilisatrices n'ont jamais prospéré dans le pays, comme en témoignent les tentatives avortées d'invasions de mercenaires enregistrées dans le passé », dixit le gouvernement équato-guinéen. En plus du communiqué du gouvernement Equato-guinéen, Teodorin Nguema Obiang Mangue, a eu le soutien de ses frères Africains de l’ONG : Dignité et Conscience Africaine. Dans les jours à venir, ils prévoient à travers marches et conférences à Paris, dénoncer en compagnie de la diaspora Africaine, une énième tentative de déstabilisation de l’Afrique et ses dirigeants. D’autres tournées sont également prévues dans les capitales africaines jusqu’à ce que les juges français abandonnent ces charges non fondées. L’ONG : Dignité et Conscience Africaine voudrait aussi apporter tout son soutien à Me Emmanuel Marsigny, Avocat du fils de Nguema.
Dosso Villard