Au cours du conseil des ministres du mercredi 4 avril, le Gouvernement a pris une ordonnance portant réforme du régime des pensions publiques en Côte d’Ivoire. Les mesures phares de cette réforme sont le relèvement de l’âge de la retraite qui passe de 60 à 65 ans selon les grades et la hausse du taux de cotisation qui passe de 18% à 25% supporté par l’Etat et le fonctionnaire. Selon le porte-parole du gouvernement qui a livré l’information après le Conseil des ministres, le gouvernement veut réaliser un ajustement pour éviter au pays de connaître les désagréments observés dans certains pays où les caisses de pensions publiques connaissent de fréquents et graves déficits.
Désormais, l’âge de la retraite des fonctionnaires des grades D à A3 passe de 57 à 60 ans et celui des agents de l’Etat des grades A4 à A7 passe de 60 à 65 ans. La hausse du taux de cotisation qui passe de 18% à 25% sera supportée à hauteur de 2/3 par l’Etat et 1/3 par le fonctionnaire.
Ces mesures sont destinées à rétablir l’équilibre de la Caisse Générale des Retraités et Agents de l’Etat (CGRAE) qui a un déficit d’une cinquantaine de milliards. Pour le porte-parole du Gouvernement, l’ajustement opéré par l’ordonnance adoptée à l’occasion de ce Conseil des ministres, mettra l’organisme chargé de la gestion des pensions publiques à l’abri des défaillances qu’induisent les décalages entre le nombre de retraités et le nombre d’actifs qui cotisent
Désormais, l’âge de la retraite des fonctionnaires des grades D à A3 passe de 57 à 60 ans et celui des agents de l’Etat des grades A4 à A7 passe de 60 à 65 ans. La hausse du taux de cotisation qui passe de 18% à 25% sera supportée à hauteur de 2/3 par l’Etat et 1/3 par le fonctionnaire.
Ces mesures sont destinées à rétablir l’équilibre de la Caisse Générale des Retraités et Agents de l’Etat (CGRAE) qui a un déficit d’une cinquantaine de milliards. Pour le porte-parole du Gouvernement, l’ajustement opéré par l’ordonnance adoptée à l’occasion de ce Conseil des ministres, mettra l’organisme chargé de la gestion des pensions publiques à l’abri des défaillances qu’induisent les décalages entre le nombre de retraités et le nombre d’actifs qui cotisent