Henri Konan Bédié est un homme heureux. Ses actions pour la paix et la bonne gouvernance ont été reconnues et couronnées par une distinction. Hier, à la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères, le président du PDCI a reçu la plus haute distinction de la Fédération pour la paix universelle (UPF), «Peace Award». Pour l’occasion, il a eu le soutien de plusieurs cadres de sa formation politique, mais aussi des cadres issus des autres partis politiques, de la société civile, des chefs religieux et coutumiers. Henri Konan Bédié a dit sa joie de recevoir cette distinction. «Dans ma vie, j’ai reçu plusieurs distinctions honorifiques.
Mais celle de ce jour me réjouit et je l’accepte volontiers», a-t-il indiqué d’entrée. Parce que, expliquera-t-il, ce sont des actions inspirées de la politique du père fondateur de la Côte d’Ivoire moderne. Houphouët-Boigny, nous a enseigné le dialogue, la tolérance, l’amour de la patrie. C’est ce que nous avons fait et qui nous vaut aujourd’hui cette distinction», a-t-il rappelé. . Au nom de cet amour du pays, Henri Konan Bédié a dit avoir fait fi de son amour propre pour mettre l’intérêt du pays en première ligne. La crise survenue en Côte d’Ivoire, est intervenue parce que pense-t-il certaines personnes ont une définition restrictive de la démocratie. Or, pour lui, «La démocratie, c’est aussi accepter le verdict des urnes et attendre son tour». Beaucoup de vies auraient été préservées si cette réalité était sue et acceptée de tous, a indiqué Henri Konan Bédié. Il s’est également réjoui d’avoir fait le bon choix en acceptant le sacrifice du Golf hôtel. «Aujourd’hui, le Président Alassane Ouattara est en train de faire un travail colossal pour le pays, tout bouge positivement», a-t-il dit. Avant le président Bédié, Emmanuel Gbocho, président de la FPU section Côte d’Ivoire, Tageldin Hamad, secrétaire Afrique de la FPU et Mme Bernadette Bouama, présidente du comité d’organisation, ont indiqué que le choix porté par leur structure sur la personne du président Henri Konan Bédié n’est pas fortuit. C’est la résultante, diront-ils de toutes les actions menées par le récipiendaire en faveur de la paix et de la bonne gouvernance. La Fédération pour la paix universelle, section Côte d’Ivoire, a profité de l’occasion pour lancer ses activités pour 2012 autour du thème: «La Côte d’Ivoire: une seule famille. Sous Dieu!».
Thiery Latt
Mais celle de ce jour me réjouit et je l’accepte volontiers», a-t-il indiqué d’entrée. Parce que, expliquera-t-il, ce sont des actions inspirées de la politique du père fondateur de la Côte d’Ivoire moderne. Houphouët-Boigny, nous a enseigné le dialogue, la tolérance, l’amour de la patrie. C’est ce que nous avons fait et qui nous vaut aujourd’hui cette distinction», a-t-il rappelé. . Au nom de cet amour du pays, Henri Konan Bédié a dit avoir fait fi de son amour propre pour mettre l’intérêt du pays en première ligne. La crise survenue en Côte d’Ivoire, est intervenue parce que pense-t-il certaines personnes ont une définition restrictive de la démocratie. Or, pour lui, «La démocratie, c’est aussi accepter le verdict des urnes et attendre son tour». Beaucoup de vies auraient été préservées si cette réalité était sue et acceptée de tous, a indiqué Henri Konan Bédié. Il s’est également réjoui d’avoir fait le bon choix en acceptant le sacrifice du Golf hôtel. «Aujourd’hui, le Président Alassane Ouattara est en train de faire un travail colossal pour le pays, tout bouge positivement», a-t-il dit. Avant le président Bédié, Emmanuel Gbocho, président de la FPU section Côte d’Ivoire, Tageldin Hamad, secrétaire Afrique de la FPU et Mme Bernadette Bouama, présidente du comité d’organisation, ont indiqué que le choix porté par leur structure sur la personne du président Henri Konan Bédié n’est pas fortuit. C’est la résultante, diront-ils de toutes les actions menées par le récipiendaire en faveur de la paix et de la bonne gouvernance. La Fédération pour la paix universelle, section Côte d’Ivoire, a profité de l’occasion pour lancer ses activités pour 2012 autour du thème: «La Côte d’Ivoire: une seule famille. Sous Dieu!».
Thiery Latt