La campagne de communication pour la promotion de la bancarisation et de l’utilisation des moyens de paiement scripturaux dans l’Uemoa s’est poursuivie, mercredi dernier à l’agence principale de la Bceao. Lancée par la Banque centrale, le 23 septembre 2010, elle vise à vulgariser les acquis de la réforme des systèmes de paiement de l’Uemoa à l’effet de faire profiter à l‘ensemble de nos populations, des bénéfices des nouveaux systèmes de paiement mis en place. Cette campagne s’inscrit dans le vaste projet de modernisation des systèmes et des moyens de paiement de l’Uemoa en vue de conforter le système financier et bancaire ainsi que l’intégration économique et financière au sein de l’Union.
Selon le directeur national de la Bceao pour la Côte d’Ivoire, Jean-Baptiste Aman, cette action de sensibilisation a permis de reculer le champ de la finance informelle et intégrer des fanges d’agents économiques précédemment exclus du système bancaire et financier moderne en facilitant leur accès aux services bancaires modernes. Ainsi le taux de bancarisation est ressorti à 14,67% de la population à fin 2010 contre 8,98%en 2009. Il a jugé ces résultats encourageants mais en deçà de l’objectif intermédiaire qui est de 20% en 2012. « L’ambition affichée de notre cérémonie de ce jour est de renforcer votre connaissance des nouveaux produits financiers proposés par les banques et de vous faire profiter de l’ensemble des opportunités offertes par les nouveaux systèmes de paiement pour aboutir à une économie nationale et régionale mieux bancarisée et financiarisée. Telle est l’ambition de la Banque centrale », a-t-il déclaré.
Le directeur de cabinet, Ahoutou Koffi, représentant le ministre de l’Economie et des Finances, a abondé dans le même sens que lui, invitant les populations à faire davantage confiance aux systèmes de paiement modernes.
J-S Lia
Selon le directeur national de la Bceao pour la Côte d’Ivoire, Jean-Baptiste Aman, cette action de sensibilisation a permis de reculer le champ de la finance informelle et intégrer des fanges d’agents économiques précédemment exclus du système bancaire et financier moderne en facilitant leur accès aux services bancaires modernes. Ainsi le taux de bancarisation est ressorti à 14,67% de la population à fin 2010 contre 8,98%en 2009. Il a jugé ces résultats encourageants mais en deçà de l’objectif intermédiaire qui est de 20% en 2012. « L’ambition affichée de notre cérémonie de ce jour est de renforcer votre connaissance des nouveaux produits financiers proposés par les banques et de vous faire profiter de l’ensemble des opportunités offertes par les nouveaux systèmes de paiement pour aboutir à une économie nationale et régionale mieux bancarisée et financiarisée. Telle est l’ambition de la Banque centrale », a-t-il déclaré.
Le directeur de cabinet, Ahoutou Koffi, représentant le ministre de l’Economie et des Finances, a abondé dans le même sens que lui, invitant les populations à faire davantage confiance aux systèmes de paiement modernes.
J-S Lia