Une quarantaine de journalistes se sont réunis autour d'Osange Silou-Kieffer, le 16 avril 2012, sur le parking du centre commercial Prima à Abidjan, pour marquer le huitième anniversaire de l'enlèvement de son époux, le journaliste franco-canadien Guy-André Kieffer. Le rassemblement, couvert par la presse tant nationale qu'internationale, a eu lieu à 13 heures exactement, heure à laquelle le journaliste a été vu sur les lieux pour la dernière fois.
Toutes les personnes présentes ont rendu hommage à Guy-André Kieffer, en portant autour du cou une carte de presse symbolique, élaborée à partir d'une ancienne carte de presse du journaliste enlevé.
"Je suis très émue de me trouver ici aujourd'hui, sur le lieu-même où a disparu mon mari, et d'avoir tant de monde autour de moi pour me soutenir. Je suis venue lui rendre hommage, mais surtout dire que nous ne baisserons pas les bras. Nous sommes déterminés à savoir ce qui s'est passé, à connaître la vérité", a déclaré Osange Silou-Kieffer.
"Je souhaiterais que l'ambassade de France et l'ambassade du Canada mettent à nouveau en place, ensemble, un suivi du dossier, comme elles l'avaient fait immédiatement après l'enlèvement, en 2004", a-t-elle ajouté.
Reporters sans frontières, qui accompagne la famille dans cette affaire depuis 2004 en tant que partie civile, a déclaré : "L'enquête n'avance pas suffisamment vite et les changements depuis l'an passé ne sont pas à la hauteur de nos espérances. Nous demandons aux autorités ivoiriennes de mettre en place, en Côte d'Ivoire, une commission d'enquête spéciale, dotée de moyens suffisants, afin que le juge d'instruction français Patrick Ramaël ne soit plus seul à porter et faire avancer ce dossier."
Osange Silou-Kieffer et Reporters sans frontières doivent être reçus, le 17 avril, par le president de la République de Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara, et le Premier ministre et ministre de la Justice, Jeannot Ahoussou-Kouadio.
Un autre rassemblement se tiendra, ce 16 avril 2012, à 18 heures 30, autour de Canelle Kieffer, la fille du journaliste, devant la fontaine Saint-Michel, dans le 5e arrondissement de Paris. Les participants porteront les mêmes cartes de presse symboliques qu'à Abidjan.
Toutes les personnes présentes ont rendu hommage à Guy-André Kieffer, en portant autour du cou une carte de presse symbolique, élaborée à partir d'une ancienne carte de presse du journaliste enlevé.
"Je suis très émue de me trouver ici aujourd'hui, sur le lieu-même où a disparu mon mari, et d'avoir tant de monde autour de moi pour me soutenir. Je suis venue lui rendre hommage, mais surtout dire que nous ne baisserons pas les bras. Nous sommes déterminés à savoir ce qui s'est passé, à connaître la vérité", a déclaré Osange Silou-Kieffer.
"Je souhaiterais que l'ambassade de France et l'ambassade du Canada mettent à nouveau en place, ensemble, un suivi du dossier, comme elles l'avaient fait immédiatement après l'enlèvement, en 2004", a-t-elle ajouté.
Reporters sans frontières, qui accompagne la famille dans cette affaire depuis 2004 en tant que partie civile, a déclaré : "L'enquête n'avance pas suffisamment vite et les changements depuis l'an passé ne sont pas à la hauteur de nos espérances. Nous demandons aux autorités ivoiriennes de mettre en place, en Côte d'Ivoire, une commission d'enquête spéciale, dotée de moyens suffisants, afin que le juge d'instruction français Patrick Ramaël ne soit plus seul à porter et faire avancer ce dossier."
Osange Silou-Kieffer et Reporters sans frontières doivent être reçus, le 17 avril, par le president de la République de Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara, et le Premier ministre et ministre de la Justice, Jeannot Ahoussou-Kouadio.
Un autre rassemblement se tiendra, ce 16 avril 2012, à 18 heures 30, autour de Canelle Kieffer, la fille du journaliste, devant la fontaine Saint-Michel, dans le 5e arrondissement de Paris. Les participants porteront les mêmes cartes de presse symboliques qu'à Abidjan.