.Le maire Lamine Diabagaté : « C’est un vrai désarroi »
Au moins cinq villas sont parties en fumée, dans la soirée du samedi 28 avril 2012, à Marcory, au quartier Centre commercial. L’incendie dont l’origine reste à déterminer serait parti d'un cybercafé et d'une boîte de nuit (le 15 sur 15). Les pompiers venus avec trois camions citernes ont réussi à maîtriser les flammes, peu après 21h. Pour leur faciliter la tâche, la Cie a isolé le secteur en interrompant l’électricité. Les bagages des sinistrés se trouvaient encore dans la rue, tard dans la soirée. Le maire de Marcory Lamine Diabagaté qui habite la zone du sinistre est sorti pour constater les faits. Interrogé, il a dit : « On ne peut pas imaginer ce que chaque maison contient, mais une maison qui est brûlée, vous imaginez ce que c’est. Ces maisons datent des années 50, je dirais qu’elles sont presqu’habitées par leurs propriétaires. C’est un vrai désarroi, parce que ce sont les économies de toute une vie, des souvenirs de toute une vie qui sont parties en fumée ».
Lamine Diabagaté a indiqué que la municipalité serait aux côtés des sinistrés : « Nous allons évaluer, ne serait-ce qu’à l’œil nu, les dégâts qui ont été causés par les flammes, et voir ensuite ce que nous pouvons faire pour ces familles afin qu’elles réintègrent leurs maisons, ou alors faire la solidarité africaine, c’est-à-dire les reloger chez des voisins, et voir ce que nous pouvons faire pour les enfants, parce qu’ils ne sont pas en vacances, en attendant que leurs maisons soient réhabilitées ».
M.K.
Au moins cinq villas sont parties en fumée, dans la soirée du samedi 28 avril 2012, à Marcory, au quartier Centre commercial. L’incendie dont l’origine reste à déterminer serait parti d'un cybercafé et d'une boîte de nuit (le 15 sur 15). Les pompiers venus avec trois camions citernes ont réussi à maîtriser les flammes, peu après 21h. Pour leur faciliter la tâche, la Cie a isolé le secteur en interrompant l’électricité. Les bagages des sinistrés se trouvaient encore dans la rue, tard dans la soirée. Le maire de Marcory Lamine Diabagaté qui habite la zone du sinistre est sorti pour constater les faits. Interrogé, il a dit : « On ne peut pas imaginer ce que chaque maison contient, mais une maison qui est brûlée, vous imaginez ce que c’est. Ces maisons datent des années 50, je dirais qu’elles sont presqu’habitées par leurs propriétaires. C’est un vrai désarroi, parce que ce sont les économies de toute une vie, des souvenirs de toute une vie qui sont parties en fumée ».
Lamine Diabagaté a indiqué que la municipalité serait aux côtés des sinistrés : « Nous allons évaluer, ne serait-ce qu’à l’œil nu, les dégâts qui ont été causés par les flammes, et voir ensuite ce que nous pouvons faire pour ces familles afin qu’elles réintègrent leurs maisons, ou alors faire la solidarité africaine, c’est-à-dire les reloger chez des voisins, et voir ce que nous pouvons faire pour les enfants, parce qu’ils ne sont pas en vacances, en attendant que leurs maisons soient réhabilitées ».
M.K.