Les entreprises du secteur privé exhortent les Etats d’Afrique de l’ouest, à consacrer plus d’investissement dans les infrastructures économiques, pour un développement économique efficient de l’espace sous-régional.
Lors d’une conférence-débat sur le thème : "Les clés du développement de l’Afrique de l’Ouest : La contribution du secteur privé", initié, vendredi à Abidjan, par l’entreprise Proparco, une filiale de l’Agence française de développement, les panelistes, essentiellement des chefs d’entreprises ont appelé les dirigeants ouest-africains à accroître leur potentiel en matière de transport ferroviaire, de route, d’installations portuaires et aéroportuaires.
Toute chose qui pourrait considérablement contribuer à l’essor de l’agro-industrie, "un maillon fort du développement", a souligné le PDG de Proparco, Etienne Viard, en présence du ministre ivoirien de l’Economie et des Finances, Charles Koffi Diby.
Le PDG du groupe NSIA, Jean Kacou Diagou, a pour sa part prôné "le changement des mentalités de nos populations", par l’éducation. "Il faut que les mentalités changent, il faut vulgariser l’intégration culturelle depuis l’école", a-t-il dit, engageant " toutes les entreprises" à s’unir pour "être compétitifs sur le marché mondial".
Pour les panélistes, le développement de la zone UEMOA (Union économique monétaire africaine) "est difficile", en raison de l’inadéquation entre différentes stratégies économiques proposées par les pays, "mais surtout de la corruption" dans ces Etats.
Plusieurs entreprises de l’Agro-industrie, du secteur financier, du transport et de l’énergie ont pris part à cette conférence.
(AIP)
kn/tm
Lors d’une conférence-débat sur le thème : "Les clés du développement de l’Afrique de l’Ouest : La contribution du secteur privé", initié, vendredi à Abidjan, par l’entreprise Proparco, une filiale de l’Agence française de développement, les panelistes, essentiellement des chefs d’entreprises ont appelé les dirigeants ouest-africains à accroître leur potentiel en matière de transport ferroviaire, de route, d’installations portuaires et aéroportuaires.
Toute chose qui pourrait considérablement contribuer à l’essor de l’agro-industrie, "un maillon fort du développement", a souligné le PDG de Proparco, Etienne Viard, en présence du ministre ivoirien de l’Economie et des Finances, Charles Koffi Diby.
Le PDG du groupe NSIA, Jean Kacou Diagou, a pour sa part prôné "le changement des mentalités de nos populations", par l’éducation. "Il faut que les mentalités changent, il faut vulgariser l’intégration culturelle depuis l’école", a-t-il dit, engageant " toutes les entreprises" à s’unir pour "être compétitifs sur le marché mondial".
Pour les panélistes, le développement de la zone UEMOA (Union économique monétaire africaine) "est difficile", en raison de l’inadéquation entre différentes stratégies économiques proposées par les pays, "mais surtout de la corruption" dans ces Etats.
Plusieurs entreprises de l’Agro-industrie, du secteur financier, du transport et de l’énergie ont pris part à cette conférence.
(AIP)
kn/tm