Abidjan - En marge de l’ouverture de la 17ème session plénière de la commission technique du Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchissement d’argent en Afrique de l’ouest (GIABA), jeudi, à Abidjan, son directeur général adjoint, Dr Diaw Elisabeth, a annoncé une évaluation, à partir de lundi, de son dispositif de lutte en Côte d’Ivoire.
"La Côte d’Ivoire et la Guinée-Conakry sont les deux pays qui n’ont pas encore subi l’évaluation mutuelle sur les 15 Etats de notre zone de couverture", a-t-elle déclaré au salon d’honneur de l’hôtel Ivoire (Abidjan).
Durant 15 jours, les deux structures qui relaient les actions du GIABA au niveau local, le Comité national de suivi des actions (CNSA-GIABA) et la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF) en l’occurrence, vont donc être visitées par des experts évaluateurs du Groupe qui "formuleront, à la suite, des observations quant à ce qui a été fait et ce qui reste à renforcer", a précisé Dr Diaw.
Placées sous la tutelle technique du ministère de l’Economie et des Finances, le CNSA-GIABA et la CENTIF assurent des missions différentes mais sont complémentaires et visent à "faire échec aux blanchisseurs de capitaux et aux financiers du terrorisme", a assuré, pour sa part, le correspondant national du GIABA, Coulibaly Jules, par ailleurs directeur général du Trésor.
Une motion de reconnaissance a été exprimée aux autorités ivoiriennes, pour avoir accepté d’abriter la plénière du GIABA et mis tout en œuvre pour qu’elle se tienne dans de bonnes conditions.
Le directeur de Cabinet du ministre de l’Economie et des Finances, Ahoutou Koffi, s’est félicité du choix de la Côte d’Ivoire pour abriter les présentes assises, tout en exprimant, au nom du gouvernement ivoirien, toute sa gratitude au GIABA pour l’assistance qu’il fournit à ces deux structures en charge de la lutte contre la criminalité financière en Côte d’Ivoire.
La 17ème réunion plénière de la commission technique du GIABA qui s’achève vendredi, s’inscrit dans le cadre de ses rencontres annuelles pour s’assurer de l’évolution de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
(AIP)
kg/kp
"La Côte d’Ivoire et la Guinée-Conakry sont les deux pays qui n’ont pas encore subi l’évaluation mutuelle sur les 15 Etats de notre zone de couverture", a-t-elle déclaré au salon d’honneur de l’hôtel Ivoire (Abidjan).
Durant 15 jours, les deux structures qui relaient les actions du GIABA au niveau local, le Comité national de suivi des actions (CNSA-GIABA) et la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF) en l’occurrence, vont donc être visitées par des experts évaluateurs du Groupe qui "formuleront, à la suite, des observations quant à ce qui a été fait et ce qui reste à renforcer", a précisé Dr Diaw.
Placées sous la tutelle technique du ministère de l’Economie et des Finances, le CNSA-GIABA et la CENTIF assurent des missions différentes mais sont complémentaires et visent à "faire échec aux blanchisseurs de capitaux et aux financiers du terrorisme", a assuré, pour sa part, le correspondant national du GIABA, Coulibaly Jules, par ailleurs directeur général du Trésor.
Une motion de reconnaissance a été exprimée aux autorités ivoiriennes, pour avoir accepté d’abriter la plénière du GIABA et mis tout en œuvre pour qu’elle se tienne dans de bonnes conditions.
Le directeur de Cabinet du ministre de l’Economie et des Finances, Ahoutou Koffi, s’est félicité du choix de la Côte d’Ivoire pour abriter les présentes assises, tout en exprimant, au nom du gouvernement ivoirien, toute sa gratitude au GIABA pour l’assistance qu’il fournit à ces deux structures en charge de la lutte contre la criminalité financière en Côte d’Ivoire.
La 17ème réunion plénière de la commission technique du GIABA qui s’achève vendredi, s’inscrit dans le cadre de ses rencontres annuelles pour s’assurer de l’évolution de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
(AIP)
kg/kp