L`Observatoire de la Fluidité des Transports effectue actuellement une seconde mission sur l`axe Abidjan-Noé.
Après la mission pilote qu`elle a conduite sur cet axe du 24 au 25 septembre 2011, l`équipe de Dr Kouyaté Mohamed bénéficie cette fois, de l`appui de l`Organisation du Corridor Abidjan Lagos (OCAL), une structure créée à l`initiative de la CEDEAO pour lutter contre les entraves à la fluidité du commerce et des transports sur ce corridor.
En effet, selon les statistiques, 65% des activités économiques ouest-africaines s`effectuent sur ce corridor. C`est pourquoi, l`OCAL a décidé d`apporter son soutien à l`OFT et le CNF pour balayer une deuxième fois ce corridor essentiel pour la sous région. « Nous voulons féliciter et soutenir l`OFT pour l`excellent travail qu`il a entrepris depuis quelques temps sur les corridors en Côte d`Ivoire », a déclaré Dr KOFFI, Secrétaire Exécutif de l`OCAL au cours de la rencontre qu`ils ont eue avec tous les acteurs du système des transports, le Préfet, les Sous-Préfets et toutes les composantes des forces de l`ordre du département d`Aboisso, le Mardi 08 Mai 2012.
Il faut noter que cette mission s`articule autour de trois temps forts : il s`agit dans un premier temps d`exposer les objectifs de cette mission, ensuite de présenter les résultats des études menées sur le corridor et enfin, remettre les supports de communication et les textes réglementaires sur la situation exacte des 33 barrages autorisés en Côte d`Ivoire.
Au terme des deux premières journées de cette mission, Mr EDY Antoni, Spécialiste des transports et membre de la délégation de l`OCAL s`est dit très satisfait, eu égard à la mobilisation de l`ensemble des acteurs du système des transports, des autorités administratives locales et de la volonté politique affichée par le gouvernement à travers tous les textes réglementaires pris sur la question.
Il faut noter enfin qu`au cours de cette mission des barrages illégaux seront purement et simplement démantelés. C`est le cas de Capitainekro ou des éléments des douanes ivoiriennes ont été prié de lever leur dispositif car ne figurant pas sur la liste des barrages autorisés sur cet axe.
Service Communication OFT
Après la mission pilote qu`elle a conduite sur cet axe du 24 au 25 septembre 2011, l`équipe de Dr Kouyaté Mohamed bénéficie cette fois, de l`appui de l`Organisation du Corridor Abidjan Lagos (OCAL), une structure créée à l`initiative de la CEDEAO pour lutter contre les entraves à la fluidité du commerce et des transports sur ce corridor.
En effet, selon les statistiques, 65% des activités économiques ouest-africaines s`effectuent sur ce corridor. C`est pourquoi, l`OCAL a décidé d`apporter son soutien à l`OFT et le CNF pour balayer une deuxième fois ce corridor essentiel pour la sous région. « Nous voulons féliciter et soutenir l`OFT pour l`excellent travail qu`il a entrepris depuis quelques temps sur les corridors en Côte d`Ivoire », a déclaré Dr KOFFI, Secrétaire Exécutif de l`OCAL au cours de la rencontre qu`ils ont eue avec tous les acteurs du système des transports, le Préfet, les Sous-Préfets et toutes les composantes des forces de l`ordre du département d`Aboisso, le Mardi 08 Mai 2012.
Il faut noter que cette mission s`articule autour de trois temps forts : il s`agit dans un premier temps d`exposer les objectifs de cette mission, ensuite de présenter les résultats des études menées sur le corridor et enfin, remettre les supports de communication et les textes réglementaires sur la situation exacte des 33 barrages autorisés en Côte d`Ivoire.
Au terme des deux premières journées de cette mission, Mr EDY Antoni, Spécialiste des transports et membre de la délégation de l`OCAL s`est dit très satisfait, eu égard à la mobilisation de l`ensemble des acteurs du système des transports, des autorités administratives locales et de la volonté politique affichée par le gouvernement à travers tous les textes réglementaires pris sur la question.
Il faut noter enfin qu`au cours de cette mission des barrages illégaux seront purement et simplement démantelés. C`est le cas de Capitainekro ou des éléments des douanes ivoiriennes ont été prié de lever leur dispositif car ne figurant pas sur la liste des barrages autorisés sur cet axe.
Service Communication OFT