Le séminaire de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (Rti) a pris fin, le week-end dernier, à Maffouet Hôtel de Grand-Bassam. A la cérémonie de clôture, le président du Conseil d’administration, Brou Aka Pascal, a dit toute sa satisfaction aux experts dont les réflexions à ce séminaire permettra à la Radiodiffusion télévision ivoirienne d’être «désormais sur les rails de la qualité et de la compétitive».
Pour lui, «le développement et l’intégration africaine passent aussi par le développement de nos médias d’Etat avec à leur tête : la télévision». Le directeur de cabinet du ministre de la Communication a dit, au nom de son ministre, l’intérêt que l’Etat de Côte d’Ivoire accorde à l’évolution de la Rti : «Le gouvernement se tiendra toujours à vos côtés pour vous remettre à niveau dans tous les domaines et vous permettre d’être au diapason des grandes nations audiovisuelles de ce monde. Que les résultats de vos travaux puissent être le ferment d’une Rti nouvelle, plus conquérante et plus professionnelle» a-t-il asserté. De nombreuses recommandations ont sanctionné ces trois jours d’assises. Sur le plan juridique, les séminaristes ont recommandé «la mise en conformité du statut de la Rti avec les textes en vigueur» Dans cette optique, ils ont proposé «un projet de décret portant transformation de la Rti, Société d’économie mixte de type particulier (Semtp) en Rti, Société d’Etat (SE), un projet de décret portant dévolution du patrimoine de la Rti, Société d’économie mixte de type particulier (Semtp) à la Rti, Société d’Etat (Se), un projet de statuts de la Société d’Etat (Se), une recapitalisation du capital de la Rti. Au niveau de la mobilisation des ressources financières, le séminaire «recommande à la Rti de créer les conditions de sa rentabilité et de sa survie face aux défis qui s’annoncent en adoptant les règles de bonne gouvernance».
Pour sécuriser donc les ressources financières, les séminaristes ont recommandé «la mise en place d’une Commission tripartite Cie-Rti-Etat afin de créer un cadre de concertation pour une meilleure approche de recouvrement de la Redevance Rti, l’abandon des pratiques commerciales défavorables à la Rti : Bartering ou semi-bartering, échange marchandises, crédits aux fournisseurs, l’élaboration d’un budget réaliste tenant compte des aléas, etc.» La Rti envisage aussi la création d’un bouquet et la location de ce bouquet à d’autres chaînes. La production interne et la coproduction figurent parmi les projets de la Rti qui demande, dans la foulée, «l’affectation par l’Etat d’une partie du budget de communication des structures publiques à la Rti» etc. Au-delà de «la politique de formation-mobilité-grilles de salaire» figure en bonne place un plan de formation. Le séminaire a recommandé en plus «la reconnaissance des diplômes de l’Istc par les instances académiques nationales et internationales.
F.K
Pour lui, «le développement et l’intégration africaine passent aussi par le développement de nos médias d’Etat avec à leur tête : la télévision». Le directeur de cabinet du ministre de la Communication a dit, au nom de son ministre, l’intérêt que l’Etat de Côte d’Ivoire accorde à l’évolution de la Rti : «Le gouvernement se tiendra toujours à vos côtés pour vous remettre à niveau dans tous les domaines et vous permettre d’être au diapason des grandes nations audiovisuelles de ce monde. Que les résultats de vos travaux puissent être le ferment d’une Rti nouvelle, plus conquérante et plus professionnelle» a-t-il asserté. De nombreuses recommandations ont sanctionné ces trois jours d’assises. Sur le plan juridique, les séminaristes ont recommandé «la mise en conformité du statut de la Rti avec les textes en vigueur» Dans cette optique, ils ont proposé «un projet de décret portant transformation de la Rti, Société d’économie mixte de type particulier (Semtp) en Rti, Société d’Etat (SE), un projet de décret portant dévolution du patrimoine de la Rti, Société d’économie mixte de type particulier (Semtp) à la Rti, Société d’Etat (Se), un projet de statuts de la Société d’Etat (Se), une recapitalisation du capital de la Rti. Au niveau de la mobilisation des ressources financières, le séminaire «recommande à la Rti de créer les conditions de sa rentabilité et de sa survie face aux défis qui s’annoncent en adoptant les règles de bonne gouvernance».
Pour sécuriser donc les ressources financières, les séminaristes ont recommandé «la mise en place d’une Commission tripartite Cie-Rti-Etat afin de créer un cadre de concertation pour une meilleure approche de recouvrement de la Redevance Rti, l’abandon des pratiques commerciales défavorables à la Rti : Bartering ou semi-bartering, échange marchandises, crédits aux fournisseurs, l’élaboration d’un budget réaliste tenant compte des aléas, etc.» La Rti envisage aussi la création d’un bouquet et la location de ce bouquet à d’autres chaînes. La production interne et la coproduction figurent parmi les projets de la Rti qui demande, dans la foulée, «l’affectation par l’Etat d’une partie du budget de communication des structures publiques à la Rti» etc. Au-delà de «la politique de formation-mobilité-grilles de salaire» figure en bonne place un plan de formation. Le séminaire a recommandé en plus «la reconnaissance des diplômes de l’Istc par les instances académiques nationales et internationales.
F.K