Comment s’y prendre pour rester compétitif avec la libéralisation annoncée de l’espace audiovisuel ? C’est à cette question que les producteurs, réalisateurs de Côte d’Ivoire ont tenté de donner une réponse au cours d’un déjeuner-débat organisé à l’espace Hollywood Boulevard (Cocody), le vendredi 4 mai 2012.
Pour Mamadou Latif Toungara, le président du CPACI (Conférence des producteurs audiovisuelles de Côte d’Ivoire), « les actions pour 2012 sont grandes et pertinentes». Puisque probablement, la libéralisation de l’espace audiovisuel prendra effet cette année. «Je ne vous apprends rien, producteurs que nous sommes, nous devons dire que la libéralisation qui s`avance, va nous permettre certes de nous exprimer mais hélas! Il y aura certainement des temps difficiles, nous avons foi que la force restera toujours pour la Côte d`Ivoire», a-t-il indiqué à ses pairs. Aussi, a-t-il été question au cours des débats entre producteurs, des méthodologies de négociations avec les partenaires «sur le plan fiscal, économique et commercial » afin de gagner le pari de la libéralisation.
C’est dans une ambiance bon enfant que les producteurs et réalisateurs ivoiriens, Marie Louise Asseu, Malibu Yehiri, Bleu Brigitte, Gilbert Okoronkwo, les représentants des plusieurs maisons de production ont échangé. Avec la ferme conviction eux. «2013 sera certainement pour nous une année de grande production pour l`ensemble des producteurs audiovisuels pour des films " made in Côte d`Ivoire». Les initiateurs de cette rencontre croient être tous dans la barque de la compétitivité pour la «prospérité de tous les producteurs».
K. H
Pour Mamadou Latif Toungara, le président du CPACI (Conférence des producteurs audiovisuelles de Côte d’Ivoire), « les actions pour 2012 sont grandes et pertinentes». Puisque probablement, la libéralisation de l’espace audiovisuel prendra effet cette année. «Je ne vous apprends rien, producteurs que nous sommes, nous devons dire que la libéralisation qui s`avance, va nous permettre certes de nous exprimer mais hélas! Il y aura certainement des temps difficiles, nous avons foi que la force restera toujours pour la Côte d`Ivoire», a-t-il indiqué à ses pairs. Aussi, a-t-il été question au cours des débats entre producteurs, des méthodologies de négociations avec les partenaires «sur le plan fiscal, économique et commercial » afin de gagner le pari de la libéralisation.
C’est dans une ambiance bon enfant que les producteurs et réalisateurs ivoiriens, Marie Louise Asseu, Malibu Yehiri, Bleu Brigitte, Gilbert Okoronkwo, les représentants des plusieurs maisons de production ont échangé. Avec la ferme conviction eux. «2013 sera certainement pour nous une année de grande production pour l`ensemble des producteurs audiovisuels pour des films " made in Côte d`Ivoire». Les initiateurs de cette rencontre croient être tous dans la barque de la compétitivité pour la «prospérité de tous les producteurs».
K. H