Le patronat de l’enseignement supérieur privé veut désormais parler d’une seule voix. C’est le sens du congrès qui se tiendra, ce jeudi 10 mai 2012 à Grand-Bassam et qui réunira des associations déjà constituées et plusieurs dizaines de fondateurs et dirigeants de grandes écoles et des universités privées.
L’objectif, selon le Dr Elété Aka, est de mettre en place "l’Union patronale de l’enseignement supérieur privé qui sera le seul interlocuteur de notre ordre d’enseignement vis-à-vis de l’Etat, des opérateurs du secteur et de tous les autres partenaires". La cérémonie d’ouverture de ce congrès qui sera rehaussée par la présence du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Cissé Ibrahim Bacongo, est un évènement important qui marquera un nouveau départ pour l’enseignement supérieur privé. Qui, on le sait, joue un rôle de premier plan dans la formation des élites dans notre pays, et qui demeure un partenaire incontournable pour l’Etat dans la prise en charge et l’orientation des bacheliers, mais également un secteur miné par de nombreux problèmes et qui souffre du non payement ou des retards de payement de ses créances vis-à-vis de l’Etat.
L’Etat doit plusieurs milliards de francs aux fondateurs d’établissements privés. Lesquels pour protester, ont fermé leurs établissements en 2009. C’est donc pour éviter ce genre de situation dommageable pour tous que les fondateurs ont décidé de créer cette union qui sera un cadre d’échanges fructueux entre eux et l’Etat.
ASC
L’objectif, selon le Dr Elété Aka, est de mettre en place "l’Union patronale de l’enseignement supérieur privé qui sera le seul interlocuteur de notre ordre d’enseignement vis-à-vis de l’Etat, des opérateurs du secteur et de tous les autres partenaires". La cérémonie d’ouverture de ce congrès qui sera rehaussée par la présence du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Cissé Ibrahim Bacongo, est un évènement important qui marquera un nouveau départ pour l’enseignement supérieur privé. Qui, on le sait, joue un rôle de premier plan dans la formation des élites dans notre pays, et qui demeure un partenaire incontournable pour l’Etat dans la prise en charge et l’orientation des bacheliers, mais également un secteur miné par de nombreux problèmes et qui souffre du non payement ou des retards de payement de ses créances vis-à-vis de l’Etat.
L’Etat doit plusieurs milliards de francs aux fondateurs d’établissements privés. Lesquels pour protester, ont fermé leurs établissements en 2009. C’est donc pour éviter ce genre de situation dommageable pour tous que les fondateurs ont décidé de créer cette union qui sera un cadre d’échanges fructueux entre eux et l’Etat.
ASC