Abidjan – Procédant mardi à l’espace CRAE/UMOA (Plateau, Abidjan) au lancement officiel de la 1ère Conférence mondiale sur le cacao prévue du 19 au 23 novembre à l’hôtel Ivoire d’Abidjan, le Premier ministre ivoirien, Me Ahoussou Kouadio Jeannot a affirmé l’engagement du gouvernement à en faire une réussite totale pour relever les défis qui se présentent dans ce secteur clé de l’économie nationale.
A cet effet, le chef du gouvernement a annoncé la mise en place d’un comité de pilotage placé sous sa tutelle pour l’organisation de cette Conférence mondiale qui, a-t-il fait observer, est un indicateur du retour de la Côte d’Ivoire sur la scène internationale.
Me Ahoussou qui a rappelé l’importance du cacao pour son pays, premier producteur mondial de fèves, a souligné que cette Conférence sera le cadre idéal d’échanges et de concertation de tous les acteurs de l’économie cacaoyère, en vue de dresser la bilan de la production et de la commercialisation.
Auparavant, le ministre de l’Agriculture, Coulibaly Mamadou Sangafowa s’est appesanti sur la place capitale qu’occupe l’économie cacaoyère qui « a été et demeure le pilier du développement économique et social de la Côte d’Ivoire depuis la période coloniale ».
Aussi, le premier responsable de l’agriculture qui assure, à juste titre, la présidence du comité d’organisation de la Conférence mondiale, a-t-il noté qu’au plan national, la contribution de cacao à la formation du PIB est de 15% et de 38% pour les recettes d’exportation. Depuis quelques années, le pays a franchi la barre symbolique d’un million de tonnes, contrôlant ainsi 40% de la production mondiale qui s’est établie, selon l’ICCO, à 4,3 millions de tonnes en 2010-11.
Le ministre a toutefois fait remarquer que le diagnostic du système actuel de production et de commercialisation du cacao en Côte d’Ivoire fait ressortir des insuffisances qui menacent la durabilité de la filière. Celles-ci engendrent un déficit structurel qui se profile à l’horizon entre l’offre et la demande mondiale de cacao, ce qui ne permettra pas de garantir à terme un approvisionnement régulier et satisfaisant de l’industrie en cacao.
D’où la pertinence de l’organisation de la Conférence mondiale sur le cacao dont l’objectif est de procéder à un examen critique des défis auxquels l’économie cacaoyère mondiale est confrontée et de décider des actions coordonnées à mettre en œuvre. Ce forum sera également l’occasion d’adopter un agenda global pour une économie cacaoyère mondiale durable, définissant les grands problèmes du secteur cacaoyer mondial, les meilleures approches et stratégies pour les résoudre.
A cet effet, le chef du gouvernement a annoncé la mise en place d’un comité de pilotage placé sous sa tutelle pour l’organisation de cette Conférence mondiale qui, a-t-il fait observer, est un indicateur du retour de la Côte d’Ivoire sur la scène internationale.
Me Ahoussou qui a rappelé l’importance du cacao pour son pays, premier producteur mondial de fèves, a souligné que cette Conférence sera le cadre idéal d’échanges et de concertation de tous les acteurs de l’économie cacaoyère, en vue de dresser la bilan de la production et de la commercialisation.
Auparavant, le ministre de l’Agriculture, Coulibaly Mamadou Sangafowa s’est appesanti sur la place capitale qu’occupe l’économie cacaoyère qui « a été et demeure le pilier du développement économique et social de la Côte d’Ivoire depuis la période coloniale ».
Aussi, le premier responsable de l’agriculture qui assure, à juste titre, la présidence du comité d’organisation de la Conférence mondiale, a-t-il noté qu’au plan national, la contribution de cacao à la formation du PIB est de 15% et de 38% pour les recettes d’exportation. Depuis quelques années, le pays a franchi la barre symbolique d’un million de tonnes, contrôlant ainsi 40% de la production mondiale qui s’est établie, selon l’ICCO, à 4,3 millions de tonnes en 2010-11.
Le ministre a toutefois fait remarquer que le diagnostic du système actuel de production et de commercialisation du cacao en Côte d’Ivoire fait ressortir des insuffisances qui menacent la durabilité de la filière. Celles-ci engendrent un déficit structurel qui se profile à l’horizon entre l’offre et la demande mondiale de cacao, ce qui ne permettra pas de garantir à terme un approvisionnement régulier et satisfaisant de l’industrie en cacao.
D’où la pertinence de l’organisation de la Conférence mondiale sur le cacao dont l’objectif est de procéder à un examen critique des défis auxquels l’économie cacaoyère mondiale est confrontée et de décider des actions coordonnées à mettre en œuvre. Ce forum sera également l’occasion d’adopter un agenda global pour une économie cacaoyère mondiale durable, définissant les grands problèmes du secteur cacaoyer mondial, les meilleures approches et stratégies pour les résoudre.
