Abidjan - Quelque 60 femmes, âgées de 70 à 75 ans, "pionnières" dans leurs domaines d’activité, seront décorées dans l’ordre du mérite national, le 24 mai, en prélude à la fête des mères, annonce, la Grande chancelière de l’Ordre national, Pr. Henriette Dagri-Diabaté, justifiant ce projet par le fait que "ces femmes constituent des exemples, des sources d’émulation pour les jeunes générations".
Mme Diabaté a notamment révélé que ces récipiendaires sont essentiellement issues des milieux de l’administration, de l’éducation, des finances, des actions sociales, indiquant que ces femmes ont "le mérite d’avoir ouvert la voie de leur secteur d’activité à d’autres femmes, en étant, pour la plupart, les premières à avoir exercé ces métiers en Côte d’Ivoire".
"A ces faiseuses de vie, à ces formatrices de personnalités morales et intellectuelles, nous voulons dire que non seulement elles n’ont pas vécu inutiles, mais qu’elles ont encore quelque chose à apporter à la société", a-t-elle renchéri, signalant que "ces grandes dames" sont enseignantes, sages-femmes, infirmières, ingénieures, fonctionnaires des douanes, militantes politiques ou syndicalistes.
La fête des mères, désormais également fête du mérite, dès cette année, sera une occasion de rendre hommage à ces femmes, généralement oubliées des décorations. Ainsi institutionnalisée, cette initiative sera rééditée chaque année, soulignent ses promoteurs.
Par ailleurs, des hommes qui se sont, eux aussi, "excellemment distingués" dans l’exercice de leur activité bénéficieront, eux aussi, de la reconnaissance de la nation, à l’occasion d’une cérémonie similaire baptisée "Supers papas de la République", lors de la fête des pères en juin.
Après le premier programme trimestriel de son institution intitulé "Artisans de paix", clôturé le 03 avril à Bouaké, la Grande chancellerie annonce, pour bientôt, le prochain programme qui devrait débuter avant la fin de juin, et sera consacré aux "Bâtisseurs de l’école ivoirienne". L’institution se propose d’initier, chaque mois, un programme dédié aux anciens, intitulé " Paroles d’aînés", qui impliquera "une ou un aîné qui fera partager son récit aux générations contemporaines, afin de l’instruire comme une source d’inspiration", a fait savoir Henriette Dagri-Diabaté.
Mme Diabaté a notamment révélé que ces récipiendaires sont essentiellement issues des milieux de l’administration, de l’éducation, des finances, des actions sociales, indiquant que ces femmes ont "le mérite d’avoir ouvert la voie de leur secteur d’activité à d’autres femmes, en étant, pour la plupart, les premières à avoir exercé ces métiers en Côte d’Ivoire".
"A ces faiseuses de vie, à ces formatrices de personnalités morales et intellectuelles, nous voulons dire que non seulement elles n’ont pas vécu inutiles, mais qu’elles ont encore quelque chose à apporter à la société", a-t-elle renchéri, signalant que "ces grandes dames" sont enseignantes, sages-femmes, infirmières, ingénieures, fonctionnaires des douanes, militantes politiques ou syndicalistes.
La fête des mères, désormais également fête du mérite, dès cette année, sera une occasion de rendre hommage à ces femmes, généralement oubliées des décorations. Ainsi institutionnalisée, cette initiative sera rééditée chaque année, soulignent ses promoteurs.
Par ailleurs, des hommes qui se sont, eux aussi, "excellemment distingués" dans l’exercice de leur activité bénéficieront, eux aussi, de la reconnaissance de la nation, à l’occasion d’une cérémonie similaire baptisée "Supers papas de la République", lors de la fête des pères en juin.
Après le premier programme trimestriel de son institution intitulé "Artisans de paix", clôturé le 03 avril à Bouaké, la Grande chancellerie annonce, pour bientôt, le prochain programme qui devrait débuter avant la fin de juin, et sera consacré aux "Bâtisseurs de l’école ivoirienne". L’institution se propose d’initier, chaque mois, un programme dédié aux anciens, intitulé " Paroles d’aînés", qui impliquera "une ou un aîné qui fera partager son récit aux générations contemporaines, afin de l’instruire comme une source d’inspiration", a fait savoir Henriette Dagri-Diabaté.