La ministre de la Santé et de la Lutte contre le sida, Pr Thérèse N’Dri Yoman, a reçu, le jeudi 10 mai dernier, à son cabinet, le Groupe Aga Khan, conduit par son président, Firoz Rasul. Cette rencontre a permis de plancher sur une éventuelle possibilité de collaboration dans le domaine sanitaire. « L’activité de la santé est très importante pour nous, et nous sommes venus en prospection pour explorer la possibilité de mener les activités dans ce domaine», a indiqué M. Rasul. Qui souhaite, compte tenu de l’importance de la Côte d’Ivoire, exercer dans la réhabilitation des hôpitaux, la lutte contre les maladies chroniques, la formation des agents de la santé.
Pr Thérèse N’Dri Yoman a exprimé sa volonté, sa détermination et son engagement à réussir la mission à elle confiée par le président Alassane Ouattara. Elle a indiqué que sa vision est de restaurer le système de santé, tout en donnant un minimum de soins de qualité aux Ivoiriens. « Notre priorité de ces premières années demeure la réduction de la mortalité maternelle. Nous devrons aussi faire en sorte que les personnes les plus démunies et vulnérables aient des soins de santé. Pour cela, nous avons un besoin de réhabilitation de nos hôpitaux et de construction des unités de prise en charge de maladies comme l’insuffisance rénale, le diabète, le VIH-Sida », a relevé Mme Yoman. Qui estime par ailleurs que les ressources humaines sont de qualité, mais qu’il faut cependant former des sages-femmes qui sont sur le terrain. Car, pour elle, le taux de mortalité, qui est de 543 sur 100 000 habitants, doit être considérablement réduit.
J. CESAR
(Avec le Sercom du MSLS)
Pr Thérèse N’Dri Yoman a exprimé sa volonté, sa détermination et son engagement à réussir la mission à elle confiée par le président Alassane Ouattara. Elle a indiqué que sa vision est de restaurer le système de santé, tout en donnant un minimum de soins de qualité aux Ivoiriens. « Notre priorité de ces premières années demeure la réduction de la mortalité maternelle. Nous devrons aussi faire en sorte que les personnes les plus démunies et vulnérables aient des soins de santé. Pour cela, nous avons un besoin de réhabilitation de nos hôpitaux et de construction des unités de prise en charge de maladies comme l’insuffisance rénale, le diabète, le VIH-Sida », a relevé Mme Yoman. Qui estime par ailleurs que les ressources humaines sont de qualité, mais qu’il faut cependant former des sages-femmes qui sont sur le terrain. Car, pour elle, le taux de mortalité, qui est de 543 sur 100 000 habitants, doit être considérablement réduit.
J. CESAR
(Avec le Sercom du MSLS)