Abidjan - Le haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (UNHCR), a organisé une opération de rapatriement volontaire par vol de 104 réfugiés ivoiriens en provenance de Bamako, au Mali, annonce un communiqué de cet organisme onusien dont l’AIP a reçu copie mardi.
Ivoiriens qui avaient trouvé asile dans les camps de réfugiés au Mali, continuent de se faire enregistrer auprès du HCR pour rentrer en Côte d’Ivoire.
Pour cette première opération, 104 réfugiés ivoiriens qui ont été accueillis par une délégation de l’UNHCR et du ministère ivoirien des Affaires étrangères, ainsi que la coordination des affaires humanitaire des Nation Unies (OCHA) en Côte d’Ivoire, à l’aéroport GATL d’Abidjan.
Depuis l`éclatement de la crise malienne, née de l`occupation de la partie nord du pays par la rebellion secessionniste touareg du Mouvement national pour la libération de l’AZAWAD (MNLA), aggravée par le coup d’Etat du 22 mars, la situation des populations civiles est devenue très précaire.
Les ivoiriens qui avaient fuit les violence postléctorales (décembre 2010-avril 2011) dans les pays pour se réfugier au Mali voient ainsi leurs conditions s`empirer avec la dégradation de la situation sécuritaire dans leur pays hôte.
Depuis le début 2012, plus de 5 000 réfugiés ivoiriens ont été volontairement rapatriés par le l’UNHCR, en provenance des pays de la sous-région, en particulier du Liberia voisin, relève-t-on.
Nm/tm
Ivoiriens qui avaient trouvé asile dans les camps de réfugiés au Mali, continuent de se faire enregistrer auprès du HCR pour rentrer en Côte d’Ivoire.
Pour cette première opération, 104 réfugiés ivoiriens qui ont été accueillis par une délégation de l’UNHCR et du ministère ivoirien des Affaires étrangères, ainsi que la coordination des affaires humanitaire des Nation Unies (OCHA) en Côte d’Ivoire, à l’aéroport GATL d’Abidjan.
Depuis l`éclatement de la crise malienne, née de l`occupation de la partie nord du pays par la rebellion secessionniste touareg du Mouvement national pour la libération de l’AZAWAD (MNLA), aggravée par le coup d’Etat du 22 mars, la situation des populations civiles est devenue très précaire.
Les ivoiriens qui avaient fuit les violence postléctorales (décembre 2010-avril 2011) dans les pays pour se réfugier au Mali voient ainsi leurs conditions s`empirer avec la dégradation de la situation sécuritaire dans leur pays hôte.
Depuis le début 2012, plus de 5 000 réfugiés ivoiriens ont été volontairement rapatriés par le l’UNHCR, en provenance des pays de la sous-région, en particulier du Liberia voisin, relève-t-on.
Nm/tm