L’unique représentant de la Côte d’Ivoire encore en lice en coupes africaines, l’Académie de Football Amadou Diallo (AFAD) reversée en coupe de la confédération connait depuis mardi dernier son adversaire pour la 8ème de finale de la coupe de la confédération suite à un tirage au sort effectué au siège de la Caf au Caire. Il s’agit du Widad athlétic club de Casablanca (Wac). Le match aller se déroulera le 1er juillet à Abidjan et le retour deux semaines plus tard à Casablanca. Revoilà donc l’Afad au Maghreb face à un autre gros calibre bien connu sur l’échiquier continental.
Le Widad athletic est un club vieux de 75 ans et habitué des compétitions africaines. Sa gloire continentale a commencé en 1992 où il a remporté la Ligue des champions appelée coupe d’Afrique des clubs champions dans l’ancienne formule. En 2011, il a joué la finale de cette compétition sans succès. Il obtiendra son deuxième trophée continental en 2002 en enlevant la coupe d’Afrique des vainqueurs de coupe qui deviendra plus tard coupe de la confédération. Le Wac est à la recherche d’une nouvelle gloire. Son Football est basé sur la technique. Et il dispose de joueurs de talent doublé d’expérience. On peut citer l’Ivoirien Bakary Koné ex-milieu de terrain de l’Asec Mimosas, Ali Rachdi, Younès Howassi, Mohcine Lajour, Lys Mouithys, Jawad Issine etc. Pour arriver à ce stade de la compétition, le Widad a éliminé le Real de Bamako à Casablanca.
Classé 4ème au classement du championnat national pro après la 28ème journée, le club marocain connait en ce moment des problèmes de santé physique au niveau de certains joueurs. Adil Rami vient de subir une opération du ligament croisé, et la rupture du ligament de Bakr El Hilali. Said Fettah s’ajoute à la liste des blessés avec une déchirure musculaire à la cuisse gauche, nécessitant un repos de 10 jours. Quant à Berrabeh, son repos a été prolongé de 10 jours à cause d’une déchirure du long adducteur. Farid Talhaoui a un syndrome fébrile, un examen biologique sera fait pour diagnostiquer son mal. L’entraineur Benito Floro aura le temps de récupérer tous ces joueurs avant la rencontre contre l’AFAD. Certes, l’équipe marocaine est un adversaire de taille, mais rien n’est gagné d’avance. Les académiciens de Djékanou peuvent opposer une belle résistance. Car Widad de Casablanca est loin d’être une foudre de guerre.
Ephrem Touboui
Le Widad athletic est un club vieux de 75 ans et habitué des compétitions africaines. Sa gloire continentale a commencé en 1992 où il a remporté la Ligue des champions appelée coupe d’Afrique des clubs champions dans l’ancienne formule. En 2011, il a joué la finale de cette compétition sans succès. Il obtiendra son deuxième trophée continental en 2002 en enlevant la coupe d’Afrique des vainqueurs de coupe qui deviendra plus tard coupe de la confédération. Le Wac est à la recherche d’une nouvelle gloire. Son Football est basé sur la technique. Et il dispose de joueurs de talent doublé d’expérience. On peut citer l’Ivoirien Bakary Koné ex-milieu de terrain de l’Asec Mimosas, Ali Rachdi, Younès Howassi, Mohcine Lajour, Lys Mouithys, Jawad Issine etc. Pour arriver à ce stade de la compétition, le Widad a éliminé le Real de Bamako à Casablanca.
Classé 4ème au classement du championnat national pro après la 28ème journée, le club marocain connait en ce moment des problèmes de santé physique au niveau de certains joueurs. Adil Rami vient de subir une opération du ligament croisé, et la rupture du ligament de Bakr El Hilali. Said Fettah s’ajoute à la liste des blessés avec une déchirure musculaire à la cuisse gauche, nécessitant un repos de 10 jours. Quant à Berrabeh, son repos a été prolongé de 10 jours à cause d’une déchirure du long adducteur. Farid Talhaoui a un syndrome fébrile, un examen biologique sera fait pour diagnostiquer son mal. L’entraineur Benito Floro aura le temps de récupérer tous ces joueurs avant la rencontre contre l’AFAD. Certes, l’équipe marocaine est un adversaire de taille, mais rien n’est gagné d’avance. Les académiciens de Djékanou peuvent opposer une belle résistance. Car Widad de Casablanca est loin d’être une foudre de guerre.
Ephrem Touboui