Célébrée le 13 Février de chaque année dans le monde, la journée mondiale de la radio s’est officiellement tenue en Côte d’Ivoire, le 18 mai 2012 à la Chambre de Commerce et d’Industrie. Cette cérémonie qui avait pour thème : « reconstruction post- crise et réconciliation nationale : quelle contribution de la radio » a été parrainée par le Président de la CDVR, Charles Konan Banny.
«Aujourd’hui, vous devez accompagner la Côte d’Ivoire dans sa quête de réconciliation ». C’est l’invitation faite par le ministre de la Communication, Diakité Coty. Qui n’a pas manqué de rappeler que le rôle, que les professionnels des médias exerçant sur les radios doivent jouer, n’est pas nouveau. « Durant la période de crise qui a succédé à des élections pleines d’espoir, vous avez su, pour bon nombre d’entre vous, informer, apaiser et pacifier les populations », a-t-il souligné. Pour lui, ce n’est qu’à cette condition que le gouvernement pourra poursuivre ses actions pour l’amélioration des conditions de travail dans le secteur des médias. « Si vous œuvrez dans le sens de la réconciliation et de la paix, et nous n’avons aucune raison d’en douter, le gouvernement se tiendra, encore plus, à vos côtés pour vous soutenir et contribuer ainsi à votre plein développement. Déjà, dans le cadre des appuis du Fonds de Soutien et de Développement de la Presse, nous avons apporté quelques réponses aux sollicitations des radios de proximité en octroyant le 22 mars dernier des microphones, des tables de mixage et des ordinateurs de bureau », a déclaré Diakité Coty. Le président de la CDVR, Charles Konan Banny, revenant sur l’importance de la Radio dans la mission de réconciliation des Ivoiriens, a fait savoir qu’il y a « des dossiers dans la vie qui ne sont plus à plaider ». Pour lui, dans le contexte actuel de la Côte d’Ivoire, il y a entre autres dossiers, « en bonne place la reconstruction » . « Comment réussir la reconstruction d’un pays qui sort d’une crise âpre ? C’est la tâche qui est dévolue au gouvernement. Le deuxième dossier qui n’est plus à plaider et qui est lié à la problématique de la reconstruction, c’est la réconciliation. Il n’y aura pas de reconstruction qui soit efficace, qui soit durable et qui s’applique à tous, si la condition première qui est la réconciliation n’est pas réunie », a laissé entendre Charles Konan Banny. A l’en croire, c’est une évidence que les Ivoiriens sont demandeurs de réconciliation et de reconstruction de leur pays. C’est pourquoi, il a invité les radios à jouer leur partition, « à être le compagnon permanent du processus de réconciliation nationale ».
K. Hyacinthe
«Aujourd’hui, vous devez accompagner la Côte d’Ivoire dans sa quête de réconciliation ». C’est l’invitation faite par le ministre de la Communication, Diakité Coty. Qui n’a pas manqué de rappeler que le rôle, que les professionnels des médias exerçant sur les radios doivent jouer, n’est pas nouveau. « Durant la période de crise qui a succédé à des élections pleines d’espoir, vous avez su, pour bon nombre d’entre vous, informer, apaiser et pacifier les populations », a-t-il souligné. Pour lui, ce n’est qu’à cette condition que le gouvernement pourra poursuivre ses actions pour l’amélioration des conditions de travail dans le secteur des médias. « Si vous œuvrez dans le sens de la réconciliation et de la paix, et nous n’avons aucune raison d’en douter, le gouvernement se tiendra, encore plus, à vos côtés pour vous soutenir et contribuer ainsi à votre plein développement. Déjà, dans le cadre des appuis du Fonds de Soutien et de Développement de la Presse, nous avons apporté quelques réponses aux sollicitations des radios de proximité en octroyant le 22 mars dernier des microphones, des tables de mixage et des ordinateurs de bureau », a déclaré Diakité Coty. Le président de la CDVR, Charles Konan Banny, revenant sur l’importance de la Radio dans la mission de réconciliation des Ivoiriens, a fait savoir qu’il y a « des dossiers dans la vie qui ne sont plus à plaider ». Pour lui, dans le contexte actuel de la Côte d’Ivoire, il y a entre autres dossiers, « en bonne place la reconstruction » . « Comment réussir la reconstruction d’un pays qui sort d’une crise âpre ? C’est la tâche qui est dévolue au gouvernement. Le deuxième dossier qui n’est plus à plaider et qui est lié à la problématique de la reconstruction, c’est la réconciliation. Il n’y aura pas de reconstruction qui soit efficace, qui soit durable et qui s’applique à tous, si la condition première qui est la réconciliation n’est pas réunie », a laissé entendre Charles Konan Banny. A l’en croire, c’est une évidence que les Ivoiriens sont demandeurs de réconciliation et de reconstruction de leur pays. C’est pourquoi, il a invité les radios à jouer leur partition, « à être le compagnon permanent du processus de réconciliation nationale ».
K. Hyacinthe