Mesdames et Messieurs les directeurs de publication et de diffusion,
Mesdames et Messieurs les directeurs d’antenne et de diffusion,
Mesdames et Messieurs les rédacteurs en chef,
Chères consoeurs,
Chers confrères,
Quelle est la nouvelle autour de laquelle nous sommes réunis ?
C’est la nouvelle des 20 ans et
Créé le 22 juillet 1992 par l’Etat de Côte d’Ivoire et placé sous la tutelle du Ministère de la Communication, l’Institut des Sciences et Techniques de la Communication (ISTC) aura 20 ans en juillet 2012, c’est-à-dire dans un mois. La célébration des 20 ans sera couplée avec les journées scientifiques communément appelées Journées du communicateur 2012 (J’Com 2012). Cette double manifestation aura lieu précisément les lundi 16, mardi 17 et samedi 21 juillet 2012, sous la présidence du Ministre de la Communication.
Elle sera l’occasion pour cet établissement d’Etat, qui forme aux métiers de l’information et de la communication, de réaffirmer ses ambitions, en cinq points :
- former les professionnels de l’information et de la communication de demain,
- demeurer la meilleure école de formation aux métiers de l’information et de la communication,
- revisiter le statut et la dénomination de l’Institut,
- continuer à consacrer l’essentiel de ses enseignements à la pratique,
- demeurer l’établissement d’Etat à vocation panafricaine et internationale.
Ces ambitions légitimes traduisent la volonté de l’ISTC de rester dans le débat de la formation professionnelle et de coller à l’actualité dans les médias et dans l’enseignement. Entre autres sujets de l’heure auxquels l’ISTC reste sensible, figurent les deux suivants :
- le système Licence Master Doctorat (LMD),
- la libéralisation de l’espace audiovisuel.
L’ISTC prépare les 20 ans et J’Com 2012 en rappelant être passé du système traditionnel qui délivrait le Diplôme d’études supérieures en communication (DESCOM) au système moderne universel de LMD admis dans les universités aussi bien européennes, nord-américaines qu’africaines. Cette expérience dure depuis octobre 2009.
De ce point de vue, l’ISTC est en avance sur les universités ivoiriennes et certaines grandes écoles qui, elles, ne s’inscriront dans le système LMD qu’à la rentrée d’octobre 2012.
Il est entendu que le LMD délivré par l’ISTC est assorti du qualificatif « professionnel » puisque l’Institut forme aux métiers : journalisme, production audiovisuelle, technologies de l’information et de la communication, télécommunications, marketing-publicité. Au terme de cette formation aux spécialités, il est délivré aux étudiants (es) qui en remplissent les conditions :
- la licence professionnelle (LP),
- le master professionnel (MP)
- le doctorat professionnel (DP), que l’ISTC ne délivre pas encore.
Tout diplômé de l’ISTC peut être candidat à un emploi aussi bien en Côte d’Ivoire que dans n’importe quel pays, s’engager dans une compétition internationale, ou vouloir poursuivre sa formation dans tout pays, sans se voir opposer les questions d’équivalence de son parchemin.
Que dire de la libéralisation de l’espace audiovisuel ? Passer d’une chaîne de télévision et d’une chaîne de radio à plusieurs chaînes commerciales ne profite pas qu’aux téléspectateurs, auditeurs et annonceurs, qui auront désormais le choix de leur antenne de télé ou de radio. Le droit du public à l’information gagnera en galons, c’est indiscutable.
L’ouverture de l’espace audiovisuel sera, pour l’ISTC, l’opportunité d’une plus grande ouverture des formations à la carte, pour répondre aux besoins de formation de courte durée des chaînes. Pour les diplômés, la libéralisation de l’espace audiovisuel sera l’ouverture des emplois du secteur.
Au plan des ressources humaines, l’ISTC va au rendez-vous des 20 ans et J’Com 2012 avec :
- 712 étudiants en 2012, contre une quarantaine d’étudiants en 1992
- 150 enseignants en 2012, contre une dizaine en 1992
- 114 agents en 2012, contre une trentaine en 1992
- La Mutuelle des agents de l’ISTC
- L’Association des étudiants de l’ISTC
- L’Association des étudiants internationaux de l’ISTC
- L’Association des femmes de l’ISTC
- Le comité ISTC de la Ligue ivoirienne des secrétaires, attachés et assistantes de direction
- L’Amicale des enseignants de l’ISTC
- Le Réseau des diplômés de l’ISTC
L’ISTC, son personnel, ses étudiants, ses enseignants, ses associations et sa direction, tous mobilisés à travers le comité d’organisation mis en place, ne vont pas seuls à la célébration des 20 ans et J’Com 2012. Ils entendent, attendent et souhaitent être soutenus par le gouvernement, des entreprises, des sponsors, les parents d’élèves, les institutions de soutien à la formation professionnelle et le Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES).
Ils espèrent bénéficier de l’appui de la Première Dame, en tant que fondatrice de Children of Africa, vu que l’Institut a accueilli, depuis sa création, des étudiants de 17 pays africains et que la Première Dame a la réputation bien établie d’être la mère des enfants d’Afrique. De surcroît, l’ISTC a sollicité la Première citoyenne de Côte d’Ivoire. Toutes les composantes ou catégories socio-professionnelles de l’ISTC caressent donc le secret espoir de communier avec Mme Dominique Ouattara, le 16 juillet 2012.
Au plan des infrastructures, neuf bâtiments constituent le patrimoine immeuble de l’ISTC, sur une superficie de 3 ha. L’Institut a besoin de renforcer ses capacités d’accueil pour pouvoir faire face, avec aisance, à ses propres besoins et aux sollicitations diverses.
C’est pourquoi l’achèvement de l’amphithéâtre de 560 places et des annexes est devenu impérieux, incontournable aux yeux de la direction. L’achèvement de cet amphithéâtre fera la joie des étudiants et du personnel, de même que la fierté des autorités.
Les entreprises NETSI et AFOTO Services, sous la conduite du Bureau national d’études techniques et de développement (BNETD), maître d’œuvre, travaillent à faire avancer les travaux, pour renforcer l’existant qui se décline de la manière suivante :
- Le bâtiment de la direction,
- les bâtiments jumelés servant de salles de cours,
- le bâtiment qui devait accueillir le Centre africain de formation aux technologies de l’information et de la communication et qui porte le nom de ce projet ivoiro-canadien, mort-né du fait des crises successives en Côte d’Ivoire,
- le bâtiment Lorenzo abritant certaines salles spécialisées,
- le bâtiment des studios radio-école et télé-école
- le bâtiment abritant la banque d’images et de sons,
- le bâtiment attenant au mur ISTC-RTI,
- le campus ou résidence des étudiants.
Ces édifices, ainsi que l’amphithéâtre, perdront de leur anonymat pour porter des noms significatifs, témoignage de la vie des médias en Côte d’Ivoire.
Belle occasion de se souvenir des pionniers que celle d’un 20ème anniversaire. Hommage sera rendu aux hommes et femmes ayant contribué à l’édification de l’ISTC :
- de M. Auguste Miremont à M. Coty Diakité Souleïmane, au titre des Ministres de la Communication,
- de M. Daniel Kablan Duncan à M. Charles Diby Koffi, au titre des Ministres de l’Economie et des finances,
- de Louis Nègre à votre serviteur Alfred Dan Moussa, en passant par Mamadou Berté, Blé Gahié Raphaël, Serge Pâcome Aoulou, Joseph Koudougnon Balet, Jacques Silué Sassongo, au titre des directeurs des centre, école et institut de formation en sciences de l’information et de la communication.
L’ISTC entend saisir l’occasion de ses 20 ans pour saluer le mérite et le parcours de ses travailleurs dont certains, les 15 ans à 20 ans de présence, seront honorés par le Ministre d’Etat, Ministre de l’Emploi, des affaires sociales et de la solidarité.
L’ISTC, à l’heure de ses 20 ans et J’Com 2012, veut être présenté comme un établissement d’Etat, dont les élèves sont appréciés plus par leur savoir-faire que par les diplômes, dont la gestion s’apparente à celle du privé, dont le personnel et les enseignants et les étudiants s’imposent comme des exemples de bonne conduite et de respect de la parole donnée. L’ISTC, une grande école par le fond et la forme, par les résultats et par le taux d’insertion de ses diplômés dans la vie active.
Un slogan révélateur de ses ambitions : L’ISTC forme les professionnels de l’information et de la communication de demain
Mesdames et Messieurs les directeurs d’antenne et de diffusion,
Mesdames et Messieurs les rédacteurs en chef,
Chères consoeurs,
Chers confrères,
Quelle est la nouvelle autour de laquelle nous sommes réunis ?
C’est la nouvelle des 20 ans et
Créé le 22 juillet 1992 par l’Etat de Côte d’Ivoire et placé sous la tutelle du Ministère de la Communication, l’Institut des Sciences et Techniques de la Communication (ISTC) aura 20 ans en juillet 2012, c’est-à-dire dans un mois. La célébration des 20 ans sera couplée avec les journées scientifiques communément appelées Journées du communicateur 2012 (J’Com 2012). Cette double manifestation aura lieu précisément les lundi 16, mardi 17 et samedi 21 juillet 2012, sous la présidence du Ministre de la Communication.
Elle sera l’occasion pour cet établissement d’Etat, qui forme aux métiers de l’information et de la communication, de réaffirmer ses ambitions, en cinq points :
- former les professionnels de l’information et de la communication de demain,
- demeurer la meilleure école de formation aux métiers de l’information et de la communication,
- revisiter le statut et la dénomination de l’Institut,
- continuer à consacrer l’essentiel de ses enseignements à la pratique,
- demeurer l’établissement d’Etat à vocation panafricaine et internationale.
Ces ambitions légitimes traduisent la volonté de l’ISTC de rester dans le débat de la formation professionnelle et de coller à l’actualité dans les médias et dans l’enseignement. Entre autres sujets de l’heure auxquels l’ISTC reste sensible, figurent les deux suivants :
- le système Licence Master Doctorat (LMD),
- la libéralisation de l’espace audiovisuel.
L’ISTC prépare les 20 ans et J’Com 2012 en rappelant être passé du système traditionnel qui délivrait le Diplôme d’études supérieures en communication (DESCOM) au système moderne universel de LMD admis dans les universités aussi bien européennes, nord-américaines qu’africaines. Cette expérience dure depuis octobre 2009.
De ce point de vue, l’ISTC est en avance sur les universités ivoiriennes et certaines grandes écoles qui, elles, ne s’inscriront dans le système LMD qu’à la rentrée d’octobre 2012.
Il est entendu que le LMD délivré par l’ISTC est assorti du qualificatif « professionnel » puisque l’Institut forme aux métiers : journalisme, production audiovisuelle, technologies de l’information et de la communication, télécommunications, marketing-publicité. Au terme de cette formation aux spécialités, il est délivré aux étudiants (es) qui en remplissent les conditions :
- la licence professionnelle (LP),
- le master professionnel (MP)
- le doctorat professionnel (DP), que l’ISTC ne délivre pas encore.
Tout diplômé de l’ISTC peut être candidat à un emploi aussi bien en Côte d’Ivoire que dans n’importe quel pays, s’engager dans une compétition internationale, ou vouloir poursuivre sa formation dans tout pays, sans se voir opposer les questions d’équivalence de son parchemin.
Que dire de la libéralisation de l’espace audiovisuel ? Passer d’une chaîne de télévision et d’une chaîne de radio à plusieurs chaînes commerciales ne profite pas qu’aux téléspectateurs, auditeurs et annonceurs, qui auront désormais le choix de leur antenne de télé ou de radio. Le droit du public à l’information gagnera en galons, c’est indiscutable.
L’ouverture de l’espace audiovisuel sera, pour l’ISTC, l’opportunité d’une plus grande ouverture des formations à la carte, pour répondre aux besoins de formation de courte durée des chaînes. Pour les diplômés, la libéralisation de l’espace audiovisuel sera l’ouverture des emplois du secteur.
Au plan des ressources humaines, l’ISTC va au rendez-vous des 20 ans et J’Com 2012 avec :
- 712 étudiants en 2012, contre une quarantaine d’étudiants en 1992
- 150 enseignants en 2012, contre une dizaine en 1992
- 114 agents en 2012, contre une trentaine en 1992
- La Mutuelle des agents de l’ISTC
- L’Association des étudiants de l’ISTC
- L’Association des étudiants internationaux de l’ISTC
- L’Association des femmes de l’ISTC
- Le comité ISTC de la Ligue ivoirienne des secrétaires, attachés et assistantes de direction
- L’Amicale des enseignants de l’ISTC
- Le Réseau des diplômés de l’ISTC
L’ISTC, son personnel, ses étudiants, ses enseignants, ses associations et sa direction, tous mobilisés à travers le comité d’organisation mis en place, ne vont pas seuls à la célébration des 20 ans et J’Com 2012. Ils entendent, attendent et souhaitent être soutenus par le gouvernement, des entreprises, des sponsors, les parents d’élèves, les institutions de soutien à la formation professionnelle et le Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES).
Ils espèrent bénéficier de l’appui de la Première Dame, en tant que fondatrice de Children of Africa, vu que l’Institut a accueilli, depuis sa création, des étudiants de 17 pays africains et que la Première Dame a la réputation bien établie d’être la mère des enfants d’Afrique. De surcroît, l’ISTC a sollicité la Première citoyenne de Côte d’Ivoire. Toutes les composantes ou catégories socio-professionnelles de l’ISTC caressent donc le secret espoir de communier avec Mme Dominique Ouattara, le 16 juillet 2012.
Au plan des infrastructures, neuf bâtiments constituent le patrimoine immeuble de l’ISTC, sur une superficie de 3 ha. L’Institut a besoin de renforcer ses capacités d’accueil pour pouvoir faire face, avec aisance, à ses propres besoins et aux sollicitations diverses.
C’est pourquoi l’achèvement de l’amphithéâtre de 560 places et des annexes est devenu impérieux, incontournable aux yeux de la direction. L’achèvement de cet amphithéâtre fera la joie des étudiants et du personnel, de même que la fierté des autorités.
Les entreprises NETSI et AFOTO Services, sous la conduite du Bureau national d’études techniques et de développement (BNETD), maître d’œuvre, travaillent à faire avancer les travaux, pour renforcer l’existant qui se décline de la manière suivante :
- Le bâtiment de la direction,
- les bâtiments jumelés servant de salles de cours,
- le bâtiment qui devait accueillir le Centre africain de formation aux technologies de l’information et de la communication et qui porte le nom de ce projet ivoiro-canadien, mort-né du fait des crises successives en Côte d’Ivoire,
- le bâtiment Lorenzo abritant certaines salles spécialisées,
- le bâtiment des studios radio-école et télé-école
- le bâtiment abritant la banque d’images et de sons,
- le bâtiment attenant au mur ISTC-RTI,
- le campus ou résidence des étudiants.
Ces édifices, ainsi que l’amphithéâtre, perdront de leur anonymat pour porter des noms significatifs, témoignage de la vie des médias en Côte d’Ivoire.
Belle occasion de se souvenir des pionniers que celle d’un 20ème anniversaire. Hommage sera rendu aux hommes et femmes ayant contribué à l’édification de l’ISTC :
- de M. Auguste Miremont à M. Coty Diakité Souleïmane, au titre des Ministres de la Communication,
- de M. Daniel Kablan Duncan à M. Charles Diby Koffi, au titre des Ministres de l’Economie et des finances,
- de Louis Nègre à votre serviteur Alfred Dan Moussa, en passant par Mamadou Berté, Blé Gahié Raphaël, Serge Pâcome Aoulou, Joseph Koudougnon Balet, Jacques Silué Sassongo, au titre des directeurs des centre, école et institut de formation en sciences de l’information et de la communication.
L’ISTC entend saisir l’occasion de ses 20 ans pour saluer le mérite et le parcours de ses travailleurs dont certains, les 15 ans à 20 ans de présence, seront honorés par le Ministre d’Etat, Ministre de l’Emploi, des affaires sociales et de la solidarité.
L’ISTC, à l’heure de ses 20 ans et J’Com 2012, veut être présenté comme un établissement d’Etat, dont les élèves sont appréciés plus par leur savoir-faire que par les diplômes, dont la gestion s’apparente à celle du privé, dont le personnel et les enseignants et les étudiants s’imposent comme des exemples de bonne conduite et de respect de la parole donnée. L’ISTC, une grande école par le fond et la forme, par les résultats et par le taux d’insertion de ses diplômés dans la vie active.
Un slogan révélateur de ses ambitions : L’ISTC forme les professionnels de l’information et de la communication de demain
