Organisée une fois l’an, la traditionnelle simulation d’incendie de grande envergure de la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR), s’est tenue le mardi 5 juin 2012, au siège de l’entreprise. Cet exercice-incendie conjointement organisé par la SIR, le Gspm, la Police, la Gendarmerie et le Samu, est une tradition vieille de vingt-six ans aujourd’hui. Cette intervention qui a porté sur le Bac A 152 se situe dans le cadre de la ‘’communication de crise’’.
Mais l’exercice en lui-même consiste à familiariser les équipes de la SIR avec la gestion des incendies et à tester leur capacité à intervenir sur un sinistre majeur. Il a fallu moins d’une heure aux hommes du colonel Mambo du Gspm, pour circonscrire le sinistre. Pour lui, il faut s’exercer pour éviter les improvisations. Mieux, cela leur permet surtout de tester le système par eux mis en place en pareilles circonstances. Si cet acte reste un exercice de simulation, il demeure néanmoins un exercice en situation réelle a fait savoir Boizi, Martin. Qui depuis la salle POI (Plan des Opérations Internes), met en place une cellule d’opération interne.
Celle-ci une fois déclenchée confirme le sinistre puis appelle toutes les autorités compétentes en matière d’incendie, à circonscrire la zone. A cet effet, une simulation d’explosion et des éclats par missile créant une ouverture de 30 cm de diamètre dans la robe du bac A 152, a occasionné un important feu. Provoquant ainsi un nuage explosif autour du merlon, par l’essence. Six (6) victimes ont été simulées également. La menace qui a été vite maîtrisée est le fruit de la synergie entre le Gspm, la Police, la Gendarmerie et le Samu qui ont mobilisé 24 personnes pour ce travail. D’où la satisfaction du Directeur général, Camara Thomas. «Notre objectif est d’entrainer nos équipes de sorte qu’en situation réelle, il n’y ait pas d’improvisation», a-t-il dit. La valeur pécuniaire de l’opération n’a pas été estimée. Le DG, Camara Thomas par ailleurs, est en pourparlers avec des banques sur la somme de 490 milliards pour rattrapage le retard de sa société. A également pris part à cette cérémonie, le PCA Akossi Bendjo.
A Dedi
Mais l’exercice en lui-même consiste à familiariser les équipes de la SIR avec la gestion des incendies et à tester leur capacité à intervenir sur un sinistre majeur. Il a fallu moins d’une heure aux hommes du colonel Mambo du Gspm, pour circonscrire le sinistre. Pour lui, il faut s’exercer pour éviter les improvisations. Mieux, cela leur permet surtout de tester le système par eux mis en place en pareilles circonstances. Si cet acte reste un exercice de simulation, il demeure néanmoins un exercice en situation réelle a fait savoir Boizi, Martin. Qui depuis la salle POI (Plan des Opérations Internes), met en place une cellule d’opération interne.
Celle-ci une fois déclenchée confirme le sinistre puis appelle toutes les autorités compétentes en matière d’incendie, à circonscrire la zone. A cet effet, une simulation d’explosion et des éclats par missile créant une ouverture de 30 cm de diamètre dans la robe du bac A 152, a occasionné un important feu. Provoquant ainsi un nuage explosif autour du merlon, par l’essence. Six (6) victimes ont été simulées également. La menace qui a été vite maîtrisée est le fruit de la synergie entre le Gspm, la Police, la Gendarmerie et le Samu qui ont mobilisé 24 personnes pour ce travail. D’où la satisfaction du Directeur général, Camara Thomas. «Notre objectif est d’entrainer nos équipes de sorte qu’en situation réelle, il n’y ait pas d’improvisation», a-t-il dit. La valeur pécuniaire de l’opération n’a pas été estimée. Le DG, Camara Thomas par ailleurs, est en pourparlers avec des banques sur la somme de 490 milliards pour rattrapage le retard de sa société. A également pris part à cette cérémonie, le PCA Akossi Bendjo.
A Dedi
