Abidjan, Sur l’initiative du groupe Fraternité Matin et la Banque Mondiale, une trentaine de journalistes économiques issus de rédactions de toutes tendances et spécialisations confondues, participent de mardi à jeudi à Abidjan, à une session de formation sur des modules spécifiques à leur service (Economie).
Cette session qui est à sa 5ème édition, porte sur ‘genres, écriture, plan journalistiques et les mots clés du journalisme économique’; ‘éthique, déontologie et transparence’; ‘connaissance de la Banque Mondiale et de ses instruments’; et ‘spécificité du journalisme économique’.
Avant l’ouverture des travaux, prononçant une conférence inaugurale sur la problématique de la formation continue des journalistes de Côte d’Ivoire, le directeur général (DG) de Fraternité Matin, Venance Konan et le directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, Madani Tall, ont tour à tour situé l’importance d’avoir des journalistes bien formés pour impulser le développement du pays.
Pour le DG de Fraternité Matin, le manque ou l’insuffisance de formation des journalistes, de nos jours, ont eu pour résultat immédiat, « une presse de caniveau, une presse de chantage, une presse de racket, une presse de règlement de comptes, qui a totalement dévoyé l’aspiration légitime de notre peuple à la démocratie et qui a mis à mal l’unité nationale ».
« Dans la nouvelle Côte d’Ivoire (…) qui aspire à être un vrai pays démocratique, qui ambitionne d’être un pays émergent à l’horizon 2020 (…), il est impératif que les journalistes soient bien formés », a souligné Venance Konan qui a réitéré son rêve d’une école de journalisme. En attendant la concrétisation de ce rêve, le DG de Fraternité Matin a exprimé sa gratitude au premier responsable en Côte d’Ivoire de la Banque Mondiale, Madani Tall qui l’a assuré, dès sa prise de fonction, de le soutenir afin que les journalistes ivoiriens soient parmi les meilleurs du continent.
Pour sa part, le directeur des opérations de la Banque Mondiale pour la Côte d’Ivoire a souligné « les retombées incalculables sur le processus de développement d’un pays où la presse exerce de manière professionnelle et libre sa mission ». Faisant une corrélation entre accès à l’information, transparence, engagement citoyen et développement, M. Tall a exhorté les journalistes au professionnalisme, rassurant, par ailleurs, que l’institution est plus que jamais décidée à renforcer sa présence dans le pays.
(AIP)
Cette session qui est à sa 5ème édition, porte sur ‘genres, écriture, plan journalistiques et les mots clés du journalisme économique’; ‘éthique, déontologie et transparence’; ‘connaissance de la Banque Mondiale et de ses instruments’; et ‘spécificité du journalisme économique’.
Avant l’ouverture des travaux, prononçant une conférence inaugurale sur la problématique de la formation continue des journalistes de Côte d’Ivoire, le directeur général (DG) de Fraternité Matin, Venance Konan et le directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, Madani Tall, ont tour à tour situé l’importance d’avoir des journalistes bien formés pour impulser le développement du pays.
Pour le DG de Fraternité Matin, le manque ou l’insuffisance de formation des journalistes, de nos jours, ont eu pour résultat immédiat, « une presse de caniveau, une presse de chantage, une presse de racket, une presse de règlement de comptes, qui a totalement dévoyé l’aspiration légitime de notre peuple à la démocratie et qui a mis à mal l’unité nationale ».
« Dans la nouvelle Côte d’Ivoire (…) qui aspire à être un vrai pays démocratique, qui ambitionne d’être un pays émergent à l’horizon 2020 (…), il est impératif que les journalistes soient bien formés », a souligné Venance Konan qui a réitéré son rêve d’une école de journalisme. En attendant la concrétisation de ce rêve, le DG de Fraternité Matin a exprimé sa gratitude au premier responsable en Côte d’Ivoire de la Banque Mondiale, Madani Tall qui l’a assuré, dès sa prise de fonction, de le soutenir afin que les journalistes ivoiriens soient parmi les meilleurs du continent.
Pour sa part, le directeur des opérations de la Banque Mondiale pour la Côte d’Ivoire a souligné « les retombées incalculables sur le processus de développement d’un pays où la presse exerce de manière professionnelle et libre sa mission ». Faisant une corrélation entre accès à l’information, transparence, engagement citoyen et développement, M. Tall a exhorté les journalistes au professionnalisme, rassurant, par ailleurs, que l’institution est plus que jamais décidée à renforcer sa présence dans le pays.
(AIP)