Manque de matériel relatif au fonctionnement des services tels que la pédiatrie, la gynécologie, la radiologie, la salle de réveil, problèmes d’assainissement et absence de bloc technique etc. Ce sont quelques difficultés que vivent au quotidien des hôpitaux dans les différentes localités d’Adiaké et d’Aboisso. Ces établissements sanitaires sensés gérer les cas de choléra survenus récemment sont donc impuissants. La faiblesse des infrastructures ne favorise pas une réaction efficience face au fléau. La situation est inquiétante. Heureusement, le Programme présidentiel d’urgence (PPU) est là. Ces hôpitaux ont, en effet, obtenu des garanties qui sont intégrées au PPU dont l’objectif, selon la ministre N’Dri Yoman, est « d’assurer le meilleur équipement des établissements sanitaires. Ces opérations seront bientôt exécutées, puisque les appels d’offre ont été lancés pour les exécuter». Vivement que ces mesures soient porteuses pour sauver le secteur hospitalier.
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