Koné Adama, Directeur général du Trésor et de la Comptabilité publique, veut réhabiliter l’image de marque de l'institution qu'il dirige. Depuis hier, vendredi 8 juin, il a déclaré la guerre aux agents véreux qui ternissent cette belle image. Ce, par le truchement de l'Observatoire de l'éthique et de la déontologie de l'institution, dont l'installation s'est faite en présence du ministre de l'Economie et des Finances, Charles Koffi Diby.
Fin de parcours, on peut le dire, pour les agents du Trésor public abonnés aux rackets, aux malversations et à la corruption. Parce qu'avec l'installation hier, vendredi 8 juin, à la Caistab au Plateau, de l'Observatoire de l'éthique et de la déontologie de l'institution, c'est un véritable assaut qui a été lancé contre eux par leur directeur général, Koné Adama. Convaincus que le Trésor public doit inspirer confiance et rassurer les partenaires de l'Etat par les bonnes pratiques en matière de gouvernance et conscient que toute activité au sein de cette institution doit être guidée et animée par le souci permanent d’honnêteté, la décision n°1985 / MEF / DGTCP / CE du 22 juillet 2011portant création au sein de la Direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique d'un tel instrument est désormais une réalité.
Coordonné par Dosséré Koné, président de l'Observatoire, cette structure, selon le patron du Trésor public, « contribuera à amener l'agent à être une référence morale, intellectuelle et professionnelle d'une part et, d'autre part, renforcer la crédibilité du Trésor public par un comportement qui rassure les usagers, clients, opérateurs économiques et partenaires », tout en se réjouissant de la qualité des personnes choisies pour son animation. « J'ai confié l'animation de cet organe à des personnes dont l'expérience et la rigueur sont un atout pour le traitement impartial des cas de manquement aux dispositions du Code », a fait remarquer Koné Adama. A sa suite, le ministre de l'Economie et des Finances, Charles Koffi Diby, a révélé qu'une brigade anti-corruption accompagnera l'Observatoire dans ses actions. Il a, par ailleurs, exhorté les agents du Trésor public « à la dignité, à la probité, à la responsabilité, à l'impartialité et à l'équité, au respect de la hiérarchie et du collaborateur, au devoir de réserve », en somme, au respect des principes d'éthique et de déontologie.
JULES CESAR
Fin de parcours, on peut le dire, pour les agents du Trésor public abonnés aux rackets, aux malversations et à la corruption. Parce qu'avec l'installation hier, vendredi 8 juin, à la Caistab au Plateau, de l'Observatoire de l'éthique et de la déontologie de l'institution, c'est un véritable assaut qui a été lancé contre eux par leur directeur général, Koné Adama. Convaincus que le Trésor public doit inspirer confiance et rassurer les partenaires de l'Etat par les bonnes pratiques en matière de gouvernance et conscient que toute activité au sein de cette institution doit être guidée et animée par le souci permanent d’honnêteté, la décision n°1985 / MEF / DGTCP / CE du 22 juillet 2011portant création au sein de la Direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique d'un tel instrument est désormais une réalité.
Coordonné par Dosséré Koné, président de l'Observatoire, cette structure, selon le patron du Trésor public, « contribuera à amener l'agent à être une référence morale, intellectuelle et professionnelle d'une part et, d'autre part, renforcer la crédibilité du Trésor public par un comportement qui rassure les usagers, clients, opérateurs économiques et partenaires », tout en se réjouissant de la qualité des personnes choisies pour son animation. « J'ai confié l'animation de cet organe à des personnes dont l'expérience et la rigueur sont un atout pour le traitement impartial des cas de manquement aux dispositions du Code », a fait remarquer Koné Adama. A sa suite, le ministre de l'Economie et des Finances, Charles Koffi Diby, a révélé qu'une brigade anti-corruption accompagnera l'Observatoire dans ses actions. Il a, par ailleurs, exhorté les agents du Trésor public « à la dignité, à la probité, à la responsabilité, à l'impartialité et à l'équité, au respect de la hiérarchie et du collaborateur, au devoir de réserve », en somme, au respect des principes d'éthique et de déontologie.
JULES CESAR