Bouaké - L’un des pionniers du quotidien pro gouvernemental Fraternité Matin, Issouf Sylla a marqué officiellement son départ à la retraite après 31 ans de service, à travers une cérémonie organisée dimanche à l’Hôtel Mon Afrik de Bouaké en présence du préfet de la région de Gbèkè, Konin Aka, du directeur général et du directeur des ressources humaines du quotidien, Venance Konan et Sylla Alhouceine.
Précédemment chef d’agence de Fraternité Matin à Bouaké, Issouf part désormais à la retraite en laissant des conseils à ses jeunes frères journalistes. « Ce que je peux dire à tous mes jeunes frères, à tous mes enfants qui ont choisi ce métier, c’est d’être professionnel. Etre professionnel c’est de ne pas travestir les faits, c’est de privilégier les faits et non les commentaires c’est de ne pas avoir un partie pris c’est de respecter l’éthique et la déontologie de son ce métier’’, a expliqué le doyen qui se dit "revigoré et réconforté" par ses années de métier.
Le directeur général de Fraternité Matin venu soutenir Issouf Sylla a dit que l’homme est un monument par sa personnalité qui a marqué plus que d’autres la direction, par sa sagesse qui était telle que pour le laisser partir était très difficile. « Il a dépassé l’âge de la retraite depuis longtemps, on ne pouvait pas le laisser partir mais malheureusement les lois sont ce qu’elles sont et un moment donné il faut que sur papier on le libère », a déclaré Venance Konan.
Le DG de Fraternité Matin a noté toutefois qu’un journaliste ne prend jamais de retraite, faisant savoir que dans sa retraite Issouf sylla continuera à apporter son expérience au quotidien d’Etat, à travers des chroniques.
Issouf Sylla est rentré à Fraternité Matin en 1981, en tant que journaliste au service société. Ce rédacteur en chef spécialisé était depuis 1990 le chef d’agence de Bouaké. Né en 1946, il est marié et père de 14 enfants.
(AIP)
nam/cmas
Précédemment chef d’agence de Fraternité Matin à Bouaké, Issouf part désormais à la retraite en laissant des conseils à ses jeunes frères journalistes. « Ce que je peux dire à tous mes jeunes frères, à tous mes enfants qui ont choisi ce métier, c’est d’être professionnel. Etre professionnel c’est de ne pas travestir les faits, c’est de privilégier les faits et non les commentaires c’est de ne pas avoir un partie pris c’est de respecter l’éthique et la déontologie de son ce métier’’, a expliqué le doyen qui se dit "revigoré et réconforté" par ses années de métier.
Le directeur général de Fraternité Matin venu soutenir Issouf Sylla a dit que l’homme est un monument par sa personnalité qui a marqué plus que d’autres la direction, par sa sagesse qui était telle que pour le laisser partir était très difficile. « Il a dépassé l’âge de la retraite depuis longtemps, on ne pouvait pas le laisser partir mais malheureusement les lois sont ce qu’elles sont et un moment donné il faut que sur papier on le libère », a déclaré Venance Konan.
Le DG de Fraternité Matin a noté toutefois qu’un journaliste ne prend jamais de retraite, faisant savoir que dans sa retraite Issouf sylla continuera à apporter son expérience au quotidien d’Etat, à travers des chroniques.
Issouf Sylla est rentré à Fraternité Matin en 1981, en tant que journaliste au service société. Ce rédacteur en chef spécialisé était depuis 1990 le chef d’agence de Bouaké. Né en 1946, il est marié et père de 14 enfants.
(AIP)
nam/cmas
