Située à 10 kilomètres d’Abidjan, la commune d’Anyama n’offre pas un visage reluisant. Elle présente un relief accidenté. Placée dans une cuvette, cette commune incluse depuis 2011 dans le district d’Abidjan souffre d’infrastructures routières, ses rues sont en dégradation avancée. La voie principale est le calvaire quotidien des chauffeurs. Un mal qui ronge la population de la cité de la Cola. Si la route précède le développement comme le prétend l’adage, à Anyama, la dégradation de la voie routière est un obstacle au développement. Transporteurs, commerçants, fonctionnaires, tous déplorent l’état de coma avancé de l’axe Abobo-Anyama dont les conséquences sont énormes sur les populations. Reportage
Société Publié le mardi 12 juin 2012 | Le Nouveau Réveil