Abidjan - Le taux de prévalence du diabète chez les militaires en Côte d’Ivoire connaît une hausse depuis quelques années, a révélé un spécialiste, mardi, lors de la a journée du dépistage contre le diabète organisée par l’Association Obésité, diabète de Côte d’Ivoire (AODCI) à l’hôpital militaire d’Abidjan (HMA).
Selon le nutritionniste, Dr Gbakayoro Jean-Brice, le taux du diabète chez les militaires qui était de 2%, en 1995, est passé à plus de 5% dix ans après.
Cette situation, a expliqué le nutritionniste, est due non seulement au stress et à l’alimentation de ces derniers, mais surtout au manque d’exercice physique et au sport, a-t-il ajouté.
Classé parmi les maladies nutritionnelles, le diabète, "plus qu’un problème de santé publique, représente aujourd’hui un problème de développement à cause des handicaps qu'il entraîne.
"Il faut que les malades soient sensibilisés sur la quantité et la qualité de leur nourriture pour avoir un équilibre", a ajouté le spécialiste de la diététique.
Pour sa part, l’éducateur des activités physique, Germano Yao Didier, a estimé que les populations soient sensibilisées et informées sur la pathologie dans les micro-cliniques installées dans 10 centres hospitaliers régionaux (CHR) du pays afin de permettre aux populations de se faire dépister.
Plus de 500 personnes, notamment des soldats FRCI, des gendarmes et des civils, ont bénéficié d’un dépistage gratuit suivi d’une séance d’éducation, de diététique et de démonstration culinaire pour une meilleure prise en charge de la maladie.
(aip)
Ngj/kp
Selon le nutritionniste, Dr Gbakayoro Jean-Brice, le taux du diabète chez les militaires qui était de 2%, en 1995, est passé à plus de 5% dix ans après.
Cette situation, a expliqué le nutritionniste, est due non seulement au stress et à l’alimentation de ces derniers, mais surtout au manque d’exercice physique et au sport, a-t-il ajouté.
Classé parmi les maladies nutritionnelles, le diabète, "plus qu’un problème de santé publique, représente aujourd’hui un problème de développement à cause des handicaps qu'il entraîne.
"Il faut que les malades soient sensibilisés sur la quantité et la qualité de leur nourriture pour avoir un équilibre", a ajouté le spécialiste de la diététique.
Pour sa part, l’éducateur des activités physique, Germano Yao Didier, a estimé que les populations soient sensibilisées et informées sur la pathologie dans les micro-cliniques installées dans 10 centres hospitaliers régionaux (CHR) du pays afin de permettre aux populations de se faire dépister.
Plus de 500 personnes, notamment des soldats FRCI, des gendarmes et des civils, ont bénéficié d’un dépistage gratuit suivi d’une séance d’éducation, de diététique et de démonstration culinaire pour une meilleure prise en charge de la maladie.
(aip)
Ngj/kp