Un festival international de danse contemporaine et de scénographie est en gestation à Abidjan, il y a quelque temps. Dénommé Afrik Urbanarts, il verra le jour du 5 au 8 juillet 2012.
«Hommage aux étoiles qui se consument dans le silence…». Tel est le thème de cette rencontre qui réunira le Cameroun, le Gabon, le Bénin, la Centrafrique, le Mali, l’Afrique du Sud, l’Haïti, le Sénégal, l’Allemagne, la France, les Usa et bien sûr la Côte d’Ivoire, en attendant que d’autres pays se déclarent.
Afrik Urbanarts sera réalisé, selon ses concepteurs, «en hommage à toutes ces étoiles qui se consument lentement dans le silence, à tous ceux qui, naguère, ont supporté les affres de la vie et qui en portent encore les stigmates». Ils entendent ainsi «leur montrer le chemin vers un monde meilleur».
Ce projet ambitieux, on le doit au désir ferme de deux chorégraphes, notamment Jenny Mezile et Massidi Adiatou. «Il est ouvert à un grand nombre de danses et de danseurs de divers d’horizons», indiquent-ils avant d’ajouter qu’une «grande partie des représentations attendues auront lieu dans les espaces publics les plus accessibles et à ciel ouvert. Les plasticiens s’exprimer également, selon eux, dans ce 1er Afrik Urbanarts qui devrait inspirer à nouveau de la vitalité à la danse contemporaine sur le sol ivoirien.
Schadé Adédé
schadeci@yahoo.fr
«Hommage aux étoiles qui se consument dans le silence…». Tel est le thème de cette rencontre qui réunira le Cameroun, le Gabon, le Bénin, la Centrafrique, le Mali, l’Afrique du Sud, l’Haïti, le Sénégal, l’Allemagne, la France, les Usa et bien sûr la Côte d’Ivoire, en attendant que d’autres pays se déclarent.
Afrik Urbanarts sera réalisé, selon ses concepteurs, «en hommage à toutes ces étoiles qui se consument lentement dans le silence, à tous ceux qui, naguère, ont supporté les affres de la vie et qui en portent encore les stigmates». Ils entendent ainsi «leur montrer le chemin vers un monde meilleur».
Ce projet ambitieux, on le doit au désir ferme de deux chorégraphes, notamment Jenny Mezile et Massidi Adiatou. «Il est ouvert à un grand nombre de danses et de danseurs de divers d’horizons», indiquent-ils avant d’ajouter qu’une «grande partie des représentations attendues auront lieu dans les espaces publics les plus accessibles et à ciel ouvert. Les plasticiens s’exprimer également, selon eux, dans ce 1er Afrik Urbanarts qui devrait inspirer à nouveau de la vitalité à la danse contemporaine sur le sol ivoirien.
Schadé Adédé
schadeci@yahoo.fr