ABIDJAN - L'ONU mettra en oeuvre les stratégies pour apporter une réponse aux besoins humanitaires qui se posent avec acuité dans la région ouest du pays, indique mercredi un communiqué de cette institution.
Le communiqué qui évoque la visite du coordonnateur humanitaire du système des Nations-Unies en Côte d'Ivoire, Ndolamb Ngokwey, dans la localité de Taï (zone frontalière ouest) a expliqué que celle-ci visait à évaluer la situation sécuritaire et humanitaire dans la zone.
A en croire le document, les récents incidents dans la région ont entraîné le déplacement de plus de 13.000 personnes, majoritairement des femmes et des enfants.
M. Ngokwey a pu lors de sa tournée constatée des mouvements de retour des populations vers les villages, mais la circulation des rumeurs d'attaque crée de nouveau la psychose au sein des populations.
La visite du coordonnateur humanitaire du système des Nations- Unies à Taï fait suite à des attaques répétées perpétrées par des inconnus armés ces derniers jours, faisant une vingtaine de morts dont sept Casques. Bleus de l'Opération des Nations-Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI). Ces violences avaient provoqué un déplacement massif de populations.
A l'initiative des autorités militaires, une vaste opération de ratissage a débuté dans la région et se poursuivra le long de la frontière ivoiro-libérienne afin de débusquer les assaillants.
Six des assaillants présumés, y compris deux Libériens et quatre Ivoiriens, ont été appréhendés au cours d'une première action conjointe des forces de sécurité ivoiriennes, des forces libériennes appuyées par les Casques Bleus.
Le communiqué qui évoque la visite du coordonnateur humanitaire du système des Nations-Unies en Côte d'Ivoire, Ndolamb Ngokwey, dans la localité de Taï (zone frontalière ouest) a expliqué que celle-ci visait à évaluer la situation sécuritaire et humanitaire dans la zone.
A en croire le document, les récents incidents dans la région ont entraîné le déplacement de plus de 13.000 personnes, majoritairement des femmes et des enfants.
M. Ngokwey a pu lors de sa tournée constatée des mouvements de retour des populations vers les villages, mais la circulation des rumeurs d'attaque crée de nouveau la psychose au sein des populations.
La visite du coordonnateur humanitaire du système des Nations- Unies à Taï fait suite à des attaques répétées perpétrées par des inconnus armés ces derniers jours, faisant une vingtaine de morts dont sept Casques. Bleus de l'Opération des Nations-Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI). Ces violences avaient provoqué un déplacement massif de populations.
A l'initiative des autorités militaires, une vaste opération de ratissage a débuté dans la région et se poursuivra le long de la frontière ivoiro-libérienne afin de débusquer les assaillants.
Six des assaillants présumés, y compris deux Libériens et quatre Ivoiriens, ont été appréhendés au cours d'une première action conjointe des forces de sécurité ivoiriennes, des forces libériennes appuyées par les Casques Bleus.